Jean-Jacques Goldman

"J'aime les paysans,
ils ne sont pas assez savants
pour raisonner de travers".
(MONTESQUIEU, 1689-1755)

Vue sur Château-Thierry

(Il y a) une manière virginale de penser et d'agir: toujours entretenir en soi la petite flamme, la petite source chantante, l'une qui illumine et réchauffe notre vie intérieure, l'autre qui lui donne sa fraîcheur, sa limpidité, sa spontanéïté: toujours être offensif, souvent agressif au regard de la vie, ouvert pour recevoir, comprendre, sympathiser, tendre pour rayonner et se donner, généreux, c'est-à-dire surabondant dans un double mouvement d'enrichissement et d'expansion: en un mot toujours créer, en soi ou hors de soi. 
(Emmanuel MOUNIER "Dans une lettre à sa soeur Madeleine)

Quelques larmes de pluie accrochées




Médaillons en corolle

Nous avons besoin de temps pour rêver, de temps pour nous souvenir, et de temps pour atteindre l'infini.
De temps pour être.
(Gladys TABER 1899-1980)

C'est mon côté "MASCULIN".

Cela va peut-être en étonner plus d'une ou plus d'un d'entre vous.

Je ne pratique pas ce sport (j'aurai aimé)  mais j'aime regarder ces compétitions nationales et internationales de 250 ou 500 cm3 à Monthiers (02) à 10 km de chez moi ou à Plommion (02) dans le Nord de l'Aisne.

Le bruit des moteurs, les sauts, les accélérations pour dépasser les concurrents, la poussière ou la boue projetée de partout, c'est DINGUE comme je me mets à la place des conducteurs.













Les courses automobiles, les rallyes, m'intéressent également.
Un sport que j'aurai aimé pratiquer, c'est le parachutisme. 

Pétales en coeur

Jeu de boules

ou

éventails de têtes.

"N'ayez jamais peur de vous asseoir un instant pour réfléchir".

(Lorraine HANSBERRY 1930-1965)

Pauvre coq !
Mais bonheur des enfants !

Echappé de la basse-cour d'un voisin, le voilà dans le terrain de ma belle-soeur et de mon beau-frère.

Quelle joie de courir après !
Les gamins (dont Lucas pas très rassuré) s'amusaient à le poursuivre.

J'ai capté sa fuite à grandes enjambées.

 





"Quelle agréable surprise de découvrir combien on est entouré quand on est seul".
(Ellen BURSTYN)