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Toutes mes excuses !
Je n'ai pû répondre à tous mes coms d'hier dimanche .
Ayant eu la garde de nos deux petits enfants Lucas et Océane pendant tout le week-end, je n'ai guère eu le temps de me poser devant l'ordi.
Je passe chez vous sans faute aujourd'hui.
Un orchestre à ciel ouvert
Deux cymbales en position
"En place !" montre le chef d'orchestre, bras écartés.
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Si la rose,
changeait les plis de sa robe !!!!
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Et si l'horizon se découvrait à travers des formes hétéroclites !
Quand les machines d'un autre temps savent se mettre en valeur.
Les arrondis, les ciselures
de câbles ou de pièces métalliques
au rebus,
comme des visuels de premier plan.
Qui aurait pensé qu'ils seraient à l'honneur un jour !!!!
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Op là ! Je m'envole plus loin.
Un p'tit coup d'oeil à gauche,
et, je vire de bord.
Un peu d'humour entre les animaux et les humains,
en regardant ces clichés.
Vraiment des PROS de la PHOTO !
Regardez le diaporama ci-dessous !
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Papa, voilà déjà deux ans que tu t’en es allé.Tu étais un homme de la « TERRE » avant tout et, très jeune, tu as répondu à son appel. Dès ton enfance, elle t’a vu conduire les chevaux derrière la charrue (à en manquer les cours de l’école primaire) puis devenir saisonnier pour les moissons. C’était le temps des faucheuses-lieuses et des batteuses.Sitôt ton mariage avec maman, tu deviens métayer et travaille les terres du comte de Maleissye-Melun dans notre village. A la suite du décès de mon arrière grand-père, tu reprends la ferme familiale de mes grands-parents maternels.Là, grand travailleur, dès l’aube jusque tard dans la soirée, labours, ensemencements, récoltes : tu n’as pas compté tes heures. Comme tu le disais si bien : « C’est le « temps » qui commande ; s’il pleut demain, ce sera trop tard ; il faut faucher aujourd’hui ».Avec l’avancé du mécanisme, tu as su manœuvrer grue, moissonneuse-batteuse avec dextérité. Encore à l’âge de 75 ans, on te voyait sur ta moissonneuse ou labourer avec ton tracteur.
Te voilà en pleine force de l'âge au volant de ta moissonneuse.Homme de caractère, tu te mettais facilement en colère (j’ai de qui tenir). Homme costaud, une force de la nature. Ce n’est pas des mains que tu avais mais des « battoirs » (sans jamais avoir frappé quiconque d’ailleurs), des paluches énormes. Pas de repos dans ta vie (les dimanches, tu ne connaissais pas). Si, un peu la pêche autour de ton étang mais surtout la chasse, ta passion favorite.Là, avec Maman, lors de vos 50 ans de mariage.
Petit à petit, retraite forcée à cause de l’arthrose dans tes genoux, accentuée par une longue maladie (celle des hommes pourrait-on dire). Refus de continuer à marcher avec un déambulateur, alors, dans un dernier élan de courage, ta volonté d’être opéré d’une prothèse totale du genou. C’est là que ton destin s’est achevé.Le texte de Sonia, ta petite fille, (fille de mon frère à la tête de la ferme actuellement), je le ferais mien pour te dire que, malgré des moments houleux entre nous, jamais je n’oublierai ton grand cœur et ta grande sensibilité.
Et, en ton souvenir, ce champ de blé accompagne du refrain de "la chanson des blés d'or".
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Quoi de mieux que ce premier plan pour observer à loisir la campagne environnante sans se faire remarquer !
En ce long week-end de Pâques, petit intermède en compagnie de toutes ces beautés toutes droites descendues des cieux pour vous.
Joyeuses Pâques à tous !
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