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Au sein du « Jardin des Bêtes » en Aveyron pas loin de Rodez, sous le hangar, tout près de la sortie, nous avons visité « l'Aveyron en poche », un spectacle "Son et Lumière" de 30mn.
C'est une reconstitution miniature de quelques maisons typiques de quatre villages typiques aveyronnais (La Couvertoirade, Roquefort, Laguiole et Marcillac-Vallon) avec mise en scène des santons et d'automates.
Des centaines d'automates animent les maquettes. Un souhait des propriétaires du parc de mettre en scène tous les gestes, métiers et coutumes du Rouergue du temps jadis, qui est tout à leur honneur car, rien ne leur a échappé du jeu de quilles à la préparation de l'aligot. La reconstitution d'un éclair au-dessus du village d'Aubrac est particulièrement réussie.
Là, une place de village reconstituée,
Plus loin, un berger et ses moutons en train de s'abreuver.
Au fur et à mesure de la visite, des spots éclairent différentes scènes en laissant le reste dans la pénombre et là,
on voit les automates s'animer au son de chants et danses par exemple, quand c'est une farandole qui est présentée comme là au centre de l'image. On distingue à droite, un maçon finissant une toiture, ...
Là, on voit des vendangeurs au travail.
Le ramassage de la paille où l'on voit un homme couché, en plein repos après son dur labeur.
Des femmes allant à la messe suivant le curé et les enfants de chœur.
Et tout en haut, (j'ai grossi l'image), on voit les vaches monter en transhumance vers les plateaux d'Aubrac.
J'ai pensé à SANTOUNETTE en prenant ces clichés. Si vous ne la connaissez pas encore, allez voir son site « Santons et crèches de Provence ». Elle y raconte des scènes pastorales de Provence grâce à de magnifiques santons qu'elle a rassemblés ou découverts chez des santonniers fabricants. C'est tout à fait passionnant et j'avoue qu'à chaque fois je prends un grand plaisir à découvrir ses nouveaux articles.
Pour ceux ou celles qui fêtent HALLOWWEEN, bonne Fêtes !
Pensez à voter pour mon site! Merci !
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Une autre manière de me suivre pas à pas: aujourd'hui, c'est avec ce poème que je vous emmène dans mes balades.
La première photo montre le chemin creux que j'emprunte au pied de chez moi pour accéder à la plaine et aux bois. (photo prise en début d'après-midi ce mardi 28 octobre)
"Les Yeux de ma Vie" espèrent vous avoir fait oublier vos tracas au coeur de cette nature que sait si bien s'offrir et que l'on devrait sauvegarder comme un fabuleux trésor à portée de main.Allez voir aussi mon
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HELICICULTURE
A nouveau, quelques nouvelles de ma région.
Dominique et Sylvie PIERRU, deux passionnés dans le domaine culinaire
commencent à prendre des galons
et à se faire connaître au-delà de l'hexagone.
Toutefois, vous me voyez obligée de rectifier mon article datant du 19 décembre 2007. Leur production d'oeufs d'escargots n'a plus le droit de s'appeler "Caviar d'escargots" mais "Perle des sous-bois" et leur entreprise a pris le nom de "Oh l'escargot".
Depuis 2004, dans l’Aisne près de Soissons (02), Dominique et Sylvie PIERRU ont monté une ferme hélicicole. Passionnés depuis toujours par les gastéropodes, ils s’orientent très vite dans la production de caviar, fruit de leurs recherches car il leur a fallu tout inventer.Depuis octobre 2007, avec leur récolte d’œufs de leurs 50 000 escargots (passé récemment en 2008 à 60 000), ils commercialisent leurs boîtes. Avec ce précieux mets, ils tentent de séduire les grands chefs.Helix aspersa maxima ou Gros-Gris
Originaire d'Algérie, c'est l'escargot le plus élevé en France. Sa taille est de 40 à 45 mm pour un poids adulte de 20 à 30 g.
On ne le trouve pas (ou très peu) à l'état sauvage en France.
Un escargot pondant une centaine d’œufs par an, soit 4 grammes, obtenir 200 kg n’a pas été un objectif facile. Et, quel travail fastidieux que de récolter ces petites perles blanches de 3 à 4 millimètres de diamètre ! Les « GROS-GRIS », une espèce originaire d’Afrique du Nord, vivent dans une salle à 20° avec 80% d’humidité et 18h de lumière par jour, ce qui leur permet de pondre quelque soit la saison. De plus, les escargots étant hermaphrodites, tous sont susceptibles de pondre.
Tout est fait à la main pour obtenir une conservation d’au moins trois mois selon une recette la plus naturelle possible à base de sel de Guérande et d’essence de romarin.Cette "perle des sous-bois", commercialisée sous le nom de « DE JAEGER », autour de 1 600 euros le kilo, a reçu un franc succès au salon du Touquet où une centaine de chefs toqués étaient présents. Ces petites perles légèrement rosées ont beaucoup plu grâce à leur consistance et leur subtilité au niveau du goût, très différentes de l’esturgeon.Référencés chez trois grossistes, l’exportation se fait jusqu’au Moyen-Orient et en Asie. Des contacts aussi avec FAUCHON et HEDIARD.Encouragé par ce franc succès, M. PIERRU espère produire de son laboratoire installé tout près de la maison familiale, de 800 kilos à une tonne d’ici trois ans.Près de 80% des ventes partent aux USA, au Danemark, au Japon et dans le Bénélux.
Au CEPAC (Centre de parrainage et d'accompagnement continu des créateurs d'entreprise) où l'entreprise Pierru a été formée, la Présidente Josiane Plet, est très fière de savoir que ces créateurs viennent d'être primés au concours "talents" de la création d'entreprise organisé par l'ACT (Association Concours Talents).Pour "l'innovation technique et technologique", Dominique et Sylvie Pierru vont monter sur la plus haute marche du podium.
Le couple a reçu récemment, le jeudi 23 octobre, au ministère des Finances à Bercy, le 1er prix national.
Pour déguster le caviar d’escargotPréparer de fins toasts de pain de seigle
Napper d’un peu de crème fraîche épaisse
Disposer les grains de caviar d’escargot
Poivrer légèrement,
Une pincée de fleur de sel de Guérande.
Servir accompagné d’un vin blanc sec ou encore de champagne Brut.
Eviter les couverts en argent. L’important est de ne pas manger le caviar trop froid, car son arôme en serait amoindri. Le mieux est de sortir la boîte du réfrigérateur une heure à l’avance et de ne l’ouvrir qu’au dernier moment.Sur le site suivant, cliquer ICI …………, une petite vidéo montre M. Pierru en pleine action dans son laboratoire.
L'adresse de leur site: cliquez ci-contre à droite "LA PERLE DES SOUS BOIS"
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Il existe plusieurs races de moutons. Celui que je vous présente est le mouton de Jacob admiré au parc animalier de Pradinas en Aveyron.
Le Jacob a 4 cornes, il vient d'Ecosse. On pense qu'il est originaire de Mésopotamie, du Moyen Orient. C'est en Irak que l'on a trouvé les premières traces de mouton domestiqué et aussi les premiers agriculteurs. Le Jacob se sert de ses cornes pour déblayer la neige.
A propos de « mouton », un petit dictionnaire au passage :Le terme « mouton » désigne aussi dans le langage courant les produits du mouton, sa viande, son cuir, sa fourrure. On dit par exemple : un ragoût de mouton.
En argot, un mouton peut être un compagnon de cellule que les geôliers placent avec un détenu pour obtenir des aveux.
« Un mouton » peut également représenter une personne naïve, qui suit et répète bêtement les actions de ses congénères.
« Être un mouton » signifie également, au sens figuré, être quelqu'un dont les actes sont parfaitement prévisibles.
Le « mouton » désigne également un agglomérat de poussière qui finit par former de grosses boules, particulièrement dans les milieux confinés (sous les lits, derrière les meubles, par exemple).
Une tradition occidentale conseille, afin de faciliter l'endormissement, de compter mentalement les moutons. Une représentation habituelle montre ces moutons sautant successivement une barrière. L'idée est que ce spectacle imaginaire est suffisamment répétitif et hypnotique pour provoquer le sommeil.
Petite parenthèse avant d'autres reportages sur des lieux de visites dont je ne vous ai pas encore parlés. Je vous invite donc à me suivre, oserais-je dire « comme des moutons » avec ce qu'ont vu « LES YEUX DE MA VIE ».
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Après la visite du Sacré Cœur, direction Place du Tertre tout en laissant le passage au Montmartrobus ainsi qu'au petit train.
Rencontre avec un premier artiste qui croque un jeune garçon sous les regards curieux des touristes.
Pour les touristes de passage, à l'ombre des grands arbres, il fait bon se restaurer. Les peintres en ont profité pour exposer leurs œuvres.
Huiles, gouaches, pastels, aquarelles, ...., le choix pour un souvenir de Paris.
Nous contournons par la droite. Tous les bistrots affichent complets. Pas de place pour s'asseoir.
Les croqueurs de portraits font recette sous leur parasol gris.
Ouf, une table libre. J'invite Odile à prendre un demi au « Clairon des chasseurs ». Elle en profite pour me prendre en photo et je fais de même en guise de souvenir.
Odile, notre charmeuse de premier ordre, a su s'attirer les sympathies de ce charmant serveur tout droit sorti du temps des guinguettes. Sans parler du gitan et son accordéon qui lui a sorti le grand jeu avec un formidable air de tango.
Lors du retour, petit cliché vite fait sur la portière d'un automobiliste juste pour se remémorer que l'on était en plein mondial de l'automobile à Paris.
Un dernier regard sur une boutique de souvenirs avant de descendre en funiculaire et s'engouffrer dans le métro puis direction notre campagne Sud Picarde.
A demain, pour admirer un animal peu commun.
Je vous souhaite un bon lundi !
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Toujours en ce jeudi 9 octobre, nous avions décidé Odile et moi, d'aller à Montmartre. A la sortie du métro, nous montons la rue noire de monde.
Premier arrêt non loin du carrousel, manège enfantin. Pas mal de badauds dont cette jeune femme qui a l'air un peu perdue.
Sans doute une touriste de passage, appareil-photos à la main.
Même une bonne sœur déambule devant les personnes se reposant sue les bancs.
Hasard de notre flânerie, les voilà toutes les deux devant nous.
Nous voilà au deuxième niveau et le Sacré-Cœur s'offre à nous dans toute sa splendeur.
Un coup d'œil vers l'arrière : les bancs ont été pris d'assaut. Un couple d'amoureux a préféré s'installer sur l'herbe face aux pigeons.Voilà à nouveau notre touriste, accompagnée cette fois-ci.
Je me retourne : n'est-ce pas mignon ce joli béret ! Voilà une tête bien coiffée !
Que d'imagination pour donner de l'ombre à son compagnon !
C'est vrai que de là, on a une vue plongeante sur Paris.
De chaque côté des marches, des artistes posent en habits de la Rome Antique.
Difficile de se faire un passage : les escaliers sont noirs de monde. Un chanteur guitariste nous rend nostalgique des années soixante avec une chanson des Beatles.
Visite du Sacré Cœur bien sûr mais photos interdites. A la sortie, un baiser volé au passage.
Puis direction la Place du tertre.
Mais là, ce sera pour demain, si le cœur vous en dit. Bon dimanche à vous tous !
Ce soir, 5 ans de LUCAS en famille, alors à lundi !
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Les blés sont coupés depuis longtemps et la terre fut déchaumée. Place aux futurs semis ! La terre ocre de notre Orxois en Sud Picardie dans le bas de l'Aisne nous offre à perte de vue ses alignements des rayons du semoir. Graines en gestation pour une future récolte.
Aujourd'hui, en soirée, noces d'or d'un couple d'amis.
Je passe vous voir dès que possible!
Bon samedi à tous !
Merci pour votre vote!
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