• Créé par l’Office de Tourisme intercommunal de Villers-cotterêts/Forêt de Retz, le Festival « ARTISTES EN RETZ » vient d’avoir lieu ce samedi 28 mai pour sa 2ème édition. Les écrivains et personnages célèbres locaux y sont promus. Différentes formes d’expression artistique ont été programmées comme : théâtre, poésie, danse, musique, expression corporelle… Des scolaires du territoire de la Communauté de Communes se sont produits  dans des créations mises au point lors d’ateliers théâtre et danse animés par des professionnels au cours de l’année 2010-2011. Une manière de faire vivre le patrimoine grâce à ces Petits Ambassadeurs . Outre la cour du château royal François 1er à Villers-Cotterêts, l’Abbaye de Longpont, le château de Montgobert… servent aussi de sites emblématiques du territoire. Des espaces de rencontre entre la population touristique et la population résidente. Projet qui a bénéficié d’un financement par le Conseil Régional de Picardie.

     

    Les classes de Delphine Philippe et Annick Gernez de la Haute-Borne ont étudié les légendes de la forêt. Celle de la « HOTTEE DU DIABLE » notamment

    (voir mon article ici).

    D’autres classes comme celles de Myriam Benmérabet de l’école Moncond’huy et de Valérie Briquet de l’IME de Coyolles se sont produits.

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    Des animations diverses dans le parc comme des promenades en calèche, balades à poney, vols captifs en montgolfière attiraient un large public.

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    Devant et sous le marché couvert de nombreux exposants, jeux picards,

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     expositions de véhicules anciens,

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    peinture,

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    réalisations diverses par les élèves notamment de splendides maquettes de châteaux-forts,

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    photographies par les élèves et par notre association « GRAND ANGLE »

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    et dans la cour du château François 1er, sous des toiles de tentes, taille de pierre par Sylvain Lavanoux de Montgobert,

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    philatélie, généalogie, O.N.F., société historique.

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    Les magnifiques costumes anciens de Mélanie Gronier .

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    Les sculptures de la nature découvertes et mises en valeur par Bruno Duboeuf de Chézy-en-Orxois. J’ai particulièrement apprécié ces « beautés de la nature ».

    C’est pour cela que je vais consacrer un article spécial demain pour montrer ces « visions ».

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    En soirée, la compagnie de théâtre « Entre Cour & Jardin » a proposé au public « Une tragédie florentine » d’Oscar Wilde et « L’Ours » d’Anton Tchekhov, pièces mises en scène par Antonio Labati.

     

    La Compagnie de danse « Chavirage » présenta « Vire volte », un duo de danse au château avec Joss Costalat et Véronique Weil comme danseurs sur une chorégraphie de Catherine Massiot. Un homme, une femme… Un roi, une reine… Un clin d’œil à la vie amoureuse de l’ancien maître des lieux, François 1er.

     

    Saluons également les bénévoles de « Clochers en fête » pour la restauration notamment !

    Gageons qu’une 3ème édition sera à nouveau programmée pour le plaisir de tous et la mise en valeur des patrimoines du territoire !

     

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  • BLAGUES

     

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    Une clémentine dit à une mandarine :

    «J’ai peur qu’il tombe une bonne averse.

    -Quelle importance, répond la mandarine, j’ai plein de pépins ! »

     

    *******************************************************

     

    Une dame s’adresse à sa voisine.

    «Je suis désespérée : mes géraniums ont pris un coup de froid.

    -Mais non rassurez-vous, je viens de passer devant et je ne les ai même pas entendus tousser. »

     

     *************************************************

     

    Un escargot attend sa copine. Elle arrive en retard et l’escargot lui dit :

    « Et en plus, tu n’as pas pris ton sac à dos ! »

     

     ***************************************************

     

     

    Un huissier très énervé frappe à la porte d’un débiteur.

    « OUVREZ ! Je sais que vous êtes là ! J’ai vu votre voiture sur le parking ! »

    Et une voix lui répond derrière la porte :

    « Imbécile ! Je suis sorti à pied ! »

     

     

    *********************************************************************************

     

     

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    Quelques devinettes

     

    (REPONSES EN BAS DE PAGE)

     

     

    1.)    Quel est le sport préféré des bricoleurs ?

     

     

    2.)    Quelle est la couleur préférée des golfeurs ?

     

     

    3.)    Quel est le point commun entre un portable déchargé et un judoka ?

     

     

    4.)    Qu’est-ce qui est rose et aime l’informatique ?

     

     

    5.)    Quand sait-on qu’un portable a un virus ?

     

     

    6.)    Quel est l’arbre le plus souple ?

     

     

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    REPONSES

     

     

    1.)    Le lancé de marteau

     

    2.)    Le green

     

    3.)    Les deux cherchent une prise.

     

    4.)    Le porc USB

     

    5.)    Quand il blue-tousse

     

    6.)    Le poirier

     

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  • Agréable journée à toutes et tous !

     

     

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     "ANGLE DE VUE"

     

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  • Nous arrivons maintenant dans la dernière partie de la visite et comme il n’y avait pas trop de monde en ce mois de mai, j’ai pu photographier en évitant les visiteurs. J’ai pris les clichés à l’instinct sans me fier au dépliant de visite et finalement, j’ai ciblé sur l’essentiel de cette cité imprenable cramponnée à la paroi. J’ai vraiment été impressionnée par le labeur déployé par ces grands bâtisseurs au cours des temps. Un cadre rare qui a encore gardé son aspect sauvage. D’ailleurs la falaise est protégée au niveau de sa faune et de sa flore tant son milieu naturel est fragile. Un lieu et une vallée classés par l’U.N.E.S.C.O comme faisant partie du patrimoine mondial de l’humanité.

     

    Tout en avançant sur le circuit sécurisé, on peut, au passage, s’arrêter devant un cachot où un prisonnier est en train de purger sa peine.

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    Puis, c’est la salle d’armes, pièce creusée dans la roche présentant les armes les plus caractéristiques de nos ancêtres troglodytes. Arc, arbalète, fronde, épée, pique, poignard…

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    Des protections comme casque, cotte de maille et bouclier.

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    Remarquable cuisine de l’an mil, époque à partir de laquelle la Roque connut une implantation humaine nombreuse et structurée. C’était une véritable ville fortifiée au sein de la falaise. Toutes sortes de céramiques pouvant contenir du vin, de l’eau, de l’huile mais aussi servant à cuire les potées et les bouillies qui constituaient la base de la cuisine médiévale. On remarque que certains récipients étaient aussi en bois. On voit là des répliques exactes de pièces archéologiques.

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    Au centre de la pièce un foyer dont le tirage est assuré par un courant d’air passant entre les failles du plafond et le fond de la pièce. Des anneaux sont creusés dans la roche servant d’accrochoirs pour suspendre les victuailles.

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    On remarque ici des placards et au premier plan un évier prolongé par une canalisation pour évacuer les eaux usées.

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    Là, au fond, derrière les poteries grises, il y a une reconstitution d’une sépulture  de l’âge du bronze. On ne la distingue pas bien. N’ayant pas regardé sur le plan détaillé, je n’ai pas réalisé l’importance de l’endroit. La photo n’a été prise que sur un plan large et éloigné. Dommage !

    « Le 3 juin 1913 au pied de la falaise M. Denis Peyrony fondateur du musée national de préhistoire aux Eyzies découvrait une double sépulture de l’âge du bronze. » Là, c’est une copie de l’inhumation datant d’environ 1000 ans avant notre ère. « Dans une fosse, au ras du rocher, sur un lit de cendres et avec des restes d’animaux en partie calcinés, avaient été déposés deux squelettes tête bêche, celui d’un adulte et d’un adolescent. »

    sepulture-2339

    La visite se termine par l’abri sous roche peuplé d’hommes de Néandertal qui occupaient le site il y a 55 000 ans.

    hommes-abri-2342

    Ce panneau fournit les caractéristiques de ce groupe humain.

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    Gros plans sur ces chasseurs-cueilleurs qui furent la première occupation probable de cette falaise.

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    Une visite faite le 11 mai, deuxième jour de notre escapade en Périgord Noir, qui m’aura beaucoup marquée. Mais ce n’était que le début et mes autres rencontres avec les grottes préhistoriques  en passant des peintures rupestres aux gravures et aux sculptures sur les roches des cavernes ont confirmé que j’avais fait le bon choix en venant dans cette région. Grotte de Bara Bahau au Bugue, Font de Gaume, Combarelles et Cap Blanc  aux Eyzies m’ont laissé de bons souvenirs. Heureusement que j’ai acheté de la documentation pour ancrer ces visites car les photos étaient interdites.

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    Remarques importantes !

    De 200 personnes autorisées par jour à visiter le FONT DE GAUME (durée de visite 45 mn à 1 h) en 2007 en groupes de 20 parsonnes, on est passé à 180 personnes par jour en 2011 avec 7 à 8 personnes par groupes uniquement. On nous a signalé que dans les années futures et sûrement très proches, les sites des Eyzies seraient probablement fermés et que nous étions parmi les dernières personnes à encore avoir vu de visu toutes ces beautés préhistoriques sur les parois.

    D'ailleurs, les visites ne se font que sur réservations.

     

     

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    hibou 011

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  • Après avoir visité toute la première partie sur les traces des habitants qui ont aménagé cette roche depuis des millénaires, nous voici en bout de parcours du même niveau là où la société « recherche-conseil-pédagogie en techniques médiévales de construction » pilotée par M. Waringo, maître artisan depuis 1992, a reconstitué un chantier médiéval. Le dépliant de visite précise que « le peuple médiéval occidental est libre, pas d’esclavage, ni de travaux forcés. Le travail est compensé par le troc, les échanges de services ou des salaires. » On connaît ces éléments grâce aux registres de compte des fabriques. Sur un chantier médiéval à l’époque, « le personnel est composé d’oeuvriers et oeuvrières. Les femmes sont nombreuses, elles exercent les métiers d’ysmagières (sculpture), de maçonnes, mortellières, peintres, plâtrières… Elles sont engagées sous leur nom de jeune fille de façon à ce que leur salaire leur échoie directement. Les enfants commencent tôt, l’apprentissage dure de 7 à 9 ans selon les métiers. »

     

    Cet engin appelé le « treuil du puits » permet « le levage alternatif et permanent de deux charges avec la même corde. Quand une charge monte, l’autre descend. L’entraînement se fait par une roue à échelons et par une roue à inertie pourvue d’une manivelle. Pour les levages rapides et intensifs, il faut donc deux personnes formées au maniement de l’engin. Le principe de fonctionnement veut que lorsqu’un des seaux se vide, l’autre se remplit dans une rivière ou dans un bassin à l’aplomb du levage. » (explicatifs du dépliant)

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    Ce « treuil à tambour » est aussi appelé « cage à écureuil ». On l’utilise depuis l’antiquité surtout pour des charges lourdes. Un homme seul peut élever 500 kg et à deux hommes, le poids est d’une tonne en charge. Malgré le poids soulevé, cet engin est d’une grande souplesse d’utilisation et très rapide. Que l’on soit un grand gaillard ou deux novices, un homme ordinaire soulève 7 fois son poids.

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    Ce treuil horizontal, sur un puits, permet le relevage des charges comme de l’eau ou du minerai. La longueur d’axe entraîné par des manivelles en ses extrémités en fait sa particularité. Tournant lentement, l’engin permet de soulever des poids de 150 kg sans gros efforts. On y remarque cliquet et frein. Une écoperche permet de rentrer les charges par pivotement latéral. Méthode déjà utilisée à l’époque romane. Engin entièrement démontable qui peut être remonté pièce par pièce. Pour les spécialistes : utilisation de tenons traversants et de chevilles débloquables.

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    L’échafaudage est indispensable pour tout ouvrage et au Moyen Âge, on peut dire qu’il était essentiel. Assez rudimentaire à cette époque, il était source de nombreux accidents graves. Celui présenté ici nécessite peu de bois.

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    Là, nous sommes face à une carrière. Les blocs de pierre étaient éclatés avec la technique bien connue des coins de bois que l’on arrose une fois installés. Dans cette falaise, les enlèvements de pierre sont considérables. La roche est un calcaire du crétacé supérieur qui se débite assez facilement.

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    Cet engin est ce qu’on appelle une « grue à balancier ». Le treuil permet le pivotement latéral des charges à 360° On fixe une charge d’un côté et un contrepoids de l’autre, que l’on remplit de sable, d’eau ou de plomb. Les cordes placées à chaque extrémité du bras permettent le balancement des charges.  D’un côté on tire pour soulever le bras et de l’autre on dirige la manœuvre. Le nombre de cordes est en fonction du nombre d’oeuvriers et donc de la charge à déplacer.

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    Le cabestan avec son treuil vertical servait pour le déplacement des charges et non pour les soulever. La méthode d’enroulement par tours morts était utilisée. Je n’ai rien compris à l’explicatif du dépliant. Pour cela, il aurait fallu assister à une démonstration. Tout est fonction aussi du nombre de personnes agissant sur les bras de l’appareil. On explique que c’est l’engin le plus simple. Pas de freinage puisque destiné à tirer des charges reposant sur le sol. Déjà les Grecs et les Romains l’employaient.

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    On est là en présence du plus grand escalier du site (une vingtaine au total) mais aussi un des plus grands escaliers monolithiques d’Europe. 32 marches qui permettent d’accéder à la cinquième terrasse. Des machines de guerre y étaient installées envoyant des projectiles sur les bateaux. Toutefois, impossible de monter. Escalier fermé aux visites pour raison de sécurité. On aperçoit une pièce taillée dans le roc. Des hommes d’armes y séjournaient.

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    Je vous proposerai une troisième et dernière partie demain au-delà de cette salle de garde et de ce grand escalier.

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  • La ROQUE SAINT CHRISTOPHE, à mi-chemin entre les Eyzies et Montignac-Lascaux, est une falaise qui s’élève à pic sur la Vézère. Dès l’approche par la route, on a une sensation de formes puissantes. Il ne faut surtout pas louper la visite de ce site. Un cadre rare et de toute beauté témoin d’habitats nombreux remontant à une très ancienne occupation par l’homme.

     

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    Sur ce mur de calcaire long d’un kilomètre et haut de 80 m, sous l’action de l’érosion des eaux de la rivière depuis 60millions d’années  et du gel sur le calcaire durant les périodes glaciaires de l’ère quaternaire, s’est creusé une centaine d’abris sous roche et de longues terrasses aériennes. Ces cavités naturelles ont été occupées par l’homme à la Préhistoire : Neandertal, Cro-Magnon, Néolithique (âge de bronze, âge de fer, Gallo-romain). Des modifications ont eu lieu au Moyen-Âge pour devenir un fort et même une cité jusqu’au début de la Renaissance. En 1588, le site est détruit, victime des Guerres de religion.

     

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    Cette falaise était constituée de cinq niveaux avec une circulation côté vide ou contre la paroi de l’abri. C’est par l’espace au pied de la falaise que le ravitaillement se faisait par voie d’eau à partir de la Vézère.

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    Tout en avançant dans la visite, on comprend l’aménagement des habitations troglodytiques. On est face à des empreintes laissées par nos ancêtres sur la roche.

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    Commençons par l’entrée. A l’époque de la construction du fort au Xème siècle, lorsque l’Evêque Frotaire de Périgueux décide de l’édifier pour protéger les populations contre les invasions vikings, elle était unique. Etroite, elle possédait une passerelle mobile et poste de sentinelle au-dessus. Puis, au Moyen-Âge, une fosse et un pont basculant y furent ajoutés.

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    Abri d’il y a 20 000 ans. Par la suite, cet espace a été retaillé et transformé en étable. Dans le fond à droite, on distingue des anneaux creusés dans la roche, sans doute pour y attacher le bétail.

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    Cette pièce est un abattoir pourvu d’un étal taillé dans la paroi. On y découpait la viande.

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    Cette cavité n’est autre qu’un coffre-fort taillé à même la paroi. On y voit l’emplacement du système de fermeture.

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    Cet abri naturel long de 300 m est le plus grand abri aérien d’Europe. Une trentaine de maisons y avaient été édifiées. En dessous, on peut voir deux autres étages ainsi que des escaliers de communication. Du pied de la falaise jusqu’au cinquième niveau, environ un millier de personnes pouvaient abriter.

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    Cette maquette reconstitue partiellement la cité de la roque Saint Christophe à la fin du Moyen Âge.

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    Là, c’est le site tel qu’il est aujourd’hui.

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    Voici l’emplacement d’une des églises de la Roque Saint Christophe. On y remarque des croix dans la paroi, des tombes, les fonts baptismaux. On ne le voit pas sur cette photo, mais il existe des anneaux au plafond qui servaient à suspendre les lampes à huile et objets de culte.

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    Sur la paroi extérieure, dans le plafond, une demi-voûte a été creusée. On pense que cela pouvait améliorer l’acoustique.

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    Au-dessus en dressant bien la tête, on peut apercevoir un clocher qui est, lui aussi, creusé dans la roche.

     

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    Je ne l’ai pas photographié, mais de l’autre côté de la vallée, on voit une grotte avec un poste de guet qui permettait au guetteur de voir et d’entendre plus loin dans la vallée. On communiquait ainsi d’aval en aval jusqu’à 18 km. On pouvait ainsi être averti rapidement d’un éventuel danger.

    « Une expérience récente a permis de démontrer qu’un signal sonore envoyé depuis Campagne du Bugue, situé à 18 km, parvenait jusqu’ici en 6 minutes. »

     

     

    La première partie se termine ici. Demain, en seconde partie, nous continuerons cette visite avec la zone consacrée à

    la reconstitution d’un chantier médiéval.

     

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  • Du Moyen-Âge jusqu'à la fin de XVIIIème siècle, l'activité fluviale avait une place primordiale dans l'économie et c'était le moyen de transport privilégié. L'activité commerciale à partir de Limeuil était de grande ampleur. Venant du massif central, les embarcations légères déchargeaient leurs marchandises sur la Place du Port. Entreposées dans le Chai, les gabarres se chargeaient ensuite de les transférer.

     

    Vous verrez que l'eau de la Vézère est recouverte de fleurs blanches. Ce sont d'immenses tapis qui brillent au soleil. Vraiment une particularité à cet endroit !

    Les flâneurs n'hésitent pas à se tremper les pieds sur ces bords calmes où de nombreux canards et autres oiseaux se font un plaisir de séjourner.

    Je vous laisse admirer les vues de ce magnifique endroit où nous avons pique-niqué et consommé à la terrasse du café plusieurs fois.

     

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