• LAON et sa cathédrale

    Je suis "montée" à LAON (la Préfecture de mon département) pour une expo à l'Hôtel-de-Ville et j'en ai profité pour prendre quelques photos de la cathédrale. Je vous soumets ci-dessous quelques renseignements que j'ai glanés.
     
    Laon, Préfecture de l’Aisne, dont la cathédrale située à son sommet lui valut le surnom de « montagne couronnée » est une ancienne capitale de France.
    Berthe « aux Grands pieds » née à Laon (726-783), fille de Caribert II, Comte de Laon et de Gisèle d’Aquitaine, était l’épouse du Roi Pépin le Bref (714-768) (second fils de Charles Martel). Ils eurent pour fils Charlemagne (Roi des Francs couronné Empereur en l’An 800).
     
    La ville de Laon, située en Picardie dans le département de l’Aisne, est une ville fortifiée qui possède de nombreux monuments médiévaux. Son sous-sol est sillonné de souterrains, carrières et puits dont la préservation est l’un des enjeux primordiaux actuels. Sa partie la plus ancienne appelée « ville haute » est édifiée sur une « butte témoin » qui domine la plaine environnante d’une centaine de mètres.
     
    La cathédrale « Notre Dame » de style gothique domine la colline, la ville et ses remparts. 
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    Edifiée entre 1150 et 1180, elle a vu son chœur, trop petit, être reconstruit au début du 13è siècle.
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     Elle fut prise en modèle par de nombreux édifices gothiques comme les cathédrales de Chartres, Reims, Magdebourg, Limbourg, Lausanne, Dijon.
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    Elle possède quatre tours, campaniles ou clochers. 
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    Les deux tours de la façade sont ornées de statues de bœufs grandeur nature.
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    Elles font référence à une légende, selon laquelle le bœuf chargé de monter en haut de l'« acropole » de Laon les matériaux nécessaires à la construction de la cathédrale, épuisé de cette montée, aurait été remplacé par un bœuf miraculeusement apparu.
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     Sommet de l'une des tours
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     La hauteur des deux tours de façade est de 56m.
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     La hauteur de la Tour du transept est de 60m.
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    Sculptures au-dessus du portail d'entrée
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    La nef
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    Arcades des bas-côtés
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    Les orgues
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    Une rosace
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    Le maître-autel
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    La rosace du choeur
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    Les vitraux du transept
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    Photo prise sous la voûte. La tour lanterne du transept que vous voyez sur la droite a une hauteur de 42m.
     
     
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  • Faisant suite à mon article sur l’extérieur de la cathédrale de Reims (ICI …………), voici quelques photos de son intérieur : vitraux, arcades, voûtes, mobiliers, chapelles, …
     
    La cathédrale de Reims présente un plan assez différent de ceux des cathédrales de Chartres, de Soissons et d'Amiens, déjà par la longueur de la nef qui comprend pas moins de dix travées, contre huit projetées à Chartres et exécutées à Soissons, et sept seulement à Amiens.
    Par contre, les bras du transept ne comprennent que deux travées, alors que les autres cathédrales en possèdent trois, et même quatre à Cologne.
    De même, le chœur entouré d'un déambulatoire à cinq chapelles rayonnantes est moins profond que ceux de Chartres, de Soissons et d'Amiens, mais à Reims, le chœur empiète sur quelques travées de la nef.
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    Le revers de la façade, oeuvre de Gaucher de Reims, est unique dans l'histoire de l'architecture gothique.
     
     
     La grande rose (12 mètres de diamètre) surmonte le triforium qui découpe ses arcatures sur des verrières de même forme.  
     

    De part et d'autre, le mur est creusé de niches dans lesquelles ont été sculptées des statues.
     
     
    L'intérieur frappe par son unité, sa sobriété, sa clarté, ses remarquables dimensions avec une longueur totale de 138 mètres et une hauteur sous voûte de 38 mètres.
    L'impression de hauteur, d'élancement, est accentuée par les dimensions de la nef, étroite par rapport à sa longueur, par le tracé des doubleaux formant des arcs très aigus.
     
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    La nef s'élève sur trois étages.
     
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    Vitraux de la Rose
     
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    Fenêtres hautes du chœur et vitraux du XIIIème siècle
     
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    Chapelle d’Axe avec vitraux de Marc Chagall (1974) réalisés avec la collaboration de Charles Marcq
     
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    Petits documentaires sur les vitraux
     
     
    Quelques explications sur Chagall
     
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     Chapelle de la Vierge - la statue de l’Immaculée Conception est due à François Ladatte 1742.
     
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    A son sommet, deux angelots
     
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    Autel du Cardinal (Charles de Lorraine), 80eme archevêque (1538-1574), qui a sacré Henri II, François II (Marie-Stuart) et Charles IX. Au centre, la statue de Jeanne d’Arc.
     
     
     
    Maître-autel réalisé après 1918 d’après l’original du XVIIIe siècle écrasé par la chute de la voûte. L’autel est au même emplacement depuis 401.
     
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     Chapelle du Rosaire - Retable de la mort et de la résurrection en marbre et pierre de Pierre Jacques 1541.
     
     
    Chaire provenant de l’ancienne église St-Pierre-le-Vieil - œuvre du sculpteur rémois Blondel 1770-1780.
     
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    Voici l'orgue de coeur qui sert à accompagner les chants.
    Il existe aussi le grand orgue que je n'ai malheureusement pas photographié.
    Ci-dessous quelques explications le concernant.
    Grand orgue - buffet d’orgue gothique flamboyant construit en 1487 par Oudin Meystre, remanié au XVIIe siècle. Il est surmonté d'une statue du Christ ressuscité entouré de deux anges. L’orgue a été restauré en 1937-1938 par Gonzalès, il comprend 87 jeux et 6742 tuyaux.
     
    Absidiole
     
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    Arcades
     
    Voûtes d’un bas-côté
     
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    Arcades, voûtes et vitraux
     
     

    Un petit tour du côté de chez SITELLE pour voir la photo du jour !

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  • Abbatiale Saint Ferréol
    Essômes-sur-Marne (02)
     
    L’église Abbatiale Saint Ferréol est un monument de style gothique très pur aux proportions grandioses. 

      Elle fut construite au début du XIIIème siècle en prolongement de l’église paroissiale.
    Elle subit plusieurs démolitions. 

    image hébergée par photomaniak.com La hauteur sous voûtes est de 22 mètres, la largeur du transept est de 30 mètres. Du chœur jusqu’aux travées restantes de la nef, la longueur est de 40 mètres.
     

     

    Voici quelques renseignements que donne l’association crée pour sa sauvegarde dont vous trouvez les références ci-dessous :
     
    Association Saint Ferréol
    pour la Sauvegarde de l'Abbatiale d' Essômes sur Marne
    B.P 5
    02400 Essômes sur Marne 
    1676: L'abbaye compte 7 religieux et un prieur cé 
    1765: démolition des six travées de l'église paroissiale jouxtant l'abbatiale, qui menaçaient probablement ruine, puis construction de la façade actuelle et réaménagement de la charpente et du toit Ouest

    1790: L'abbaye compte 4 religieux et 11 prieurs curés

    1795: disparition du clocher qui se trouvait à l'emplacement de la façade de la mairie actuelle
     
    1812: la flèche qui s'élevait à la croisée du transept s'effondra.
    Au nord de l'Abbatiale se trouvaient des bâtiments conventuels et notamment un cloître vitrée du XVI
    ème
    . Ils abritaient une des plus importantes communautés de chanoines réguliers du diocèse de Soissons.

    image hébergée par photomaniak.com
     Je n’ai pu visiter l’intérieur, les portes étant fermées au moment de mon passage. J’irai prendre des photos lors des journées « Portes ouvertes du Patrimoine » et vous les montrerai à ce moment-là. 
    Une nouvelle photo aujourd'hui sur " ANGLE DE VUE", mon second blog.
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  • AMPHITHEÂTRE DE FREJUS

    je l'ai visité lors de mon séjour sur la Côte d'Azur fin septembre 2007.

    L'amphithéâtre de Fréjus (ou Arènes de Fréjus) fut construit au 1er siècle, et mesurait 113 mètres de long pour 85 mètres de large. Il pouvait contenir entre 10 000 et 12 000 spectateurs, et était situé dans la ville de Forum Julii, qui devint Fréjus au cours du temps.
     


    Il est bâti à l'extérieur du rempart, à l'ouest, et s'appuie, sur sa moitié nord, contre une colline de grès. Au Sud, il s'élève sur terrain plat. La façade a disparu.

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     D'importants murs rayonnants subsistent : ils assuraient l'ancrage du monument tout en recevant, dans la partie supérieure, un système de voûtes rampantes.

     L'aménagement de ces voûtes dans l'entre-deux des murs rayonnants permettait le passage d'escaliers. 

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    Le public les utilisait pour atteindre les premier et deuxième étages.
     
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    L'espace réservé au public, la cavea, pouvant recevoir 12 000 spectateurs, pouvait être recouverte d'une immense bâche protectrice, utilisable en cas d'intempéries ou de fortes chaleurs. Un ingénieux système de console, ancrées régulièrement tout autour de la corniche sommitale du monument assurait la mise en place de solides mâts en bois à partir desquels l'on tendait des cordes. L'existence de poulies et d'anneaux permettait aux manœuvres de faire glisser puis de fixer, pan par pan, section par section, les éléments de toile qui, mis bout à bout, constituaient le velum.

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    Une tribune affectée aux élites de la colonie, édiles, prêtres, hôtes de marque, se serait trouvée au centre de la moitié nord de la cavea. Une conduite aménagée vraisemblablement à partir du château d'eau de l'aqueduc (castellum-divisorium) devait pouvoir assurer le nettoyage de la piste et des gradins.


    Les dimensions de l'arène, dont le sol était en sable, comme toutes les arènes antiques, a des dimensions de 67,70 mètres sur 39 mètres. Son grand axe, orienté est/ouest est long de 113,85 mètres et son petit axe, Nord/Sud, de 82,20 mètres. Les spectateurs en étaient séparés par un mur appelé podium.
     
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    Outre les jeux pratiqués dans tout l'Empire romain consistant en des combats de gladiateurs avec des bêtes sauvages venues d'Afrique, on a souvent, anciennement, évoqué l'existence à Fréjus de combats navals simulés dans l’amphithéâtre.



     Ce malgré les petites dimensions de l'arène et l'existence, en son milieu, d'une fosse cruciforme, sûrement destinée à l'installation des machines à élévation des décors.
     




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    Mon "ANGLE DE VUE" avec SITELLE !

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  • PLACE DE LA CASTRE (Cannes)
      Lors de l'une de nos balades de septembre 2007.
     

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    A Cannes, en haut du Suquet, un vieux mur d’enceinte borde la Place de la Castre.
     
     

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    Une statue de la Vierge à l’Enfant Jésus est abritée par les feuillages des grands arbres de la terrasse.
     

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    Tout au fond se situe le Musée de la Castre dans l’ancien château de Cannes des 11è et 12è siècles.
     

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    La Tour date du 12è siècle.
     

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    Voici l’entrée de l’église Notre-Dame-d’Espérance, bâtie aux 16è et 17è siècles. Elle appartient au style gothique provençal.
     

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    Très original ce vieux clocher !
     

    Le Chœur de l’église.
     

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    Les vitraux au-dessus du Tabernacle.
     

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    Les orgues.
     

    J'espère que vous avez aimé cette balade !

     

     

    Un petit tour sur mon autre blog

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  • EGLISE SAINTE ANNE – SAINT MARTIN à Vallauris (06)

    1839-1882
    Architecte : Jacques Quire
    Entrepreneur : Jean-Baptiste Bœuf Fils
    Pierre enduite
    Avenue Georges Clemenceau


    Cette église paroissiale à façade baroque s’élève à l’emplacement d’une ancienne église paroissiale et de la chapelle Saint Bernardin des pénitents blancs, contiguë à celles-ci. Vendue comme bien national en 1793, cette dernière est, comme de nombreuses chapelles de la commune, rendue à la paroisse en 1807, avec obligation qu’elle soit consacrée perpétuellement et exclusivement à l’exercice du culte catholique romain.

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    On aperçoit les étals du marché qui se tenait sur la place ce jour-là.


    Façade originale joliment sculptée.

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    Nef et choeur.

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     TABERNACLE
    1745
    Bois doré
    Eglise Sainte Anne – Saint Martin

    Ce tabernacle provient de la chapelle de la Miséricorde. Il contient les hosties consacrées pendant la messe, conservées pour la communion des malades et des mourants. Le mot dérive du latin taberculunum, tente, qui symbolise la présence de Dieu pour le peuple juif durant l’Exode. Le conopée, voile aux couleurs liturgiques - violet, blanc ou vert -, contribue à rendre à cette armoire l’apparence de la « tente de la rencontre », où Moise aurait conversé avec Yahvé.


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    Au-dessus du choeur

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    Sainte Anne au chevet des malades.

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    J'ai remonté cet article datant du 11 octobre 2007 pensant à cette journée de la Toussaint aujourd'hui même.

    Permettez-moi d'avoir une pensée pour mes parents disparus tous les deux en 2006.

     

    SITELLE ici avec ses soleils d'automne !


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  • En séjour dans les Alpes Maritimes en septembre 2007, nous avions fait une petite excursion dans le Var et notamment à Fayence.

    FAYENCE est un chef lieu de canton du VAR (83) de 4 386 habitants à 30 km de Cannes, Fréjus ou Saint Raphaël et non loin de Draguignan et Grasse.

    Perchée à flan de montagne à 350m d'altitude, cette ville vaut vraiment le détour. Tout de suite, on est conquis par le charme de ses ruellles anciennes
    (que je vous montrerai plus tard).

    Aujourd'hui, voici un petit aperçu des nombreuses richesses de l'église Saint Jean Baptiste du XVIIIè siècle.





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