• Nous sommes à nouveau dans la belle ville de Crépy-en-Valois.

    Toujours sur la place Gambetta , on peut remarquer la « Maison des quatre saisons ».

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    C'est une maison de XVIIIè siècle couronnée d'un fronton triangulaire avec au centre un écu portant des initiales et entouré de palmes.

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    Le rez-de-chaussée est agrémenté de décors. Ce sont des mascarons représentant les quatre saisons. Je les ai pris en photos de gauche à droite : automne, printemps, été, hiver.

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    Plus loin, dans la rue Jeanne d'Arc, l'ancienne « Pharmacie Centrale du Valois » est richement décorée de petites sculptures.

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    A la fois au-dessus de la vitrine et sur les côtés.

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    Même au-dessus des fenêtres.

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    Dernier article sur le Vieux Crépy demain si ça vous dit de me suivre encore. L'Hôtel du Lion et architectures de rues.

    Bonne journée à Vous !

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  • Continuons notre balade dans les temps anciens.

     

    Dans la rue Jeanne d'Arc appelée aussi la rue de la boucherie,

     à la hauteur du numéro 17, si on lève les yeux, on aperçoit des mâchicoulis.  Cette vieille bâtisse aux murs verdissants est l'Hôtel d'Orléans construit au XVè siècle.

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    Dans la tradition locale, on dit que Jeanne d'Arc y aurait passé sa dernière nuit de liberté avant d'être prise à Compiègne.

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    Il est probablement certain que cet hôtel fut construit par Charles d'Orléans ou sa veuve Marie de Clèves.

    En 1684, l'hôtel est devenu l'Hôtellerie du Grand Monarque qui existait encore en 1819.

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    Sur  la place Gambetta, l'hôtel de la Rose appelé aussi « Maison de la Rose » fut construit en 1537 par Laurent de Boves Receveur des Domaines du Valois. Cette bâtisse est marquée par l'italianisme du début du XVIè siècle.

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    Tourelle d'angle polygonale, escalier à vis en pierre, anciennes caves datant du XIVè siècle, ..., sont remarquables. Depuis sa construction, cette « Maison de la rose » a toujours été habitée avec des aménagements intérieurs successifs. Pour la visiter, il faut participer aux visites organisées par l'Office du Tourisme de Crépy-en-Valois. Nous n'avions pas assez de temps pour le faire.

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    Demain, Maison des Quatre saisons ainsi que l'ancienne Pharmacie Centrale du Valois : pour ceux et celles qui aiment les sculptures, vous serez gâtés.

    Bonne journée à tous !

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  • En ce mardi après-midi 13 janvier, petite escapade avec mon amie Odile à Crépy-en-Valois dans l'Oise, à une trentaine de kilomètres de chez moi. C'est avec une grande gentillesse qu'elle s'est proposée pour me servir de guide dans cette charmante petite ville médiévale où elle a passé une grande partie de son enfance et adolescence. Beaucoup de souvenirs ont refait surface et l'émotion était palpable lors de ses explications.

     Je vais consacrer plusieurs articles sur ce qu'on appelle « Le Vieux Crépy ».

    Tout d'abord aujourd'hui, rue du Docteur Chopinet, nous voilà face au Vieux Château.

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    De ces vastes constructions d'autrefois,  il ne reste que le logis seigneurial de XIIIè siècle et la Chapelle St Aubin.

     

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    Lors de la Révolution ce logis fut vendu comme bien national ; racheté par la Municipalité, il connut des utilisations diverses. Il a repris vie avec la fondation en 1949 du musée de l'Archerie et du Valois.

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    Marguerite de Valois et Henri IV firent des restaurations dont la porte d'entrée

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    (les clous des vantaux portent leurs initiales).

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    La chapelle Saint-Aubin date du 12e siècle. La tour du Valois, du 12e siècle, est l'unique vestige du château construit par les Comtes de Valois et détruit durant la guerre de Cent Ans.

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    Demain, si vous voulez bien me suivre, clichés sur l'Hôtel d'Orléans et l'Hôtel de la Rose.

    Passez un bon mardi !

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  • Quand le froid et la neige nous donnent des photos insolites !

    Dans notre terrain, le tuyau d'arrosage a la goutte au nez,
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    tandis que plus loin, ces deux grosses pierres des champs prennent
    une tournure encore plus particulière.
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    Si on avance, un tapis de perles se déroule sous nos pas,
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    et, sur la terrasse, on est accueilli par un éventail qui étire
    ses longues lamelles blanchâtres.
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    Mes YEUX sont toujours à l'affût; j'espère que je ne vous déçois pas !
    Alors, à demain et continuons ensemble sur le chemin de mes découvertes !

    Bonne semaine à vous tous!

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  • Je me dévoile très gentiment en quelques lignes, juste un petit moment de décontraction. J'avais envie de décompresser.

    1.) Si j'étais un ANIMAL, je serais un OISEAU, sans doute une alouette (qui niche au sol dans les champs et chante en plein vol), pour me faufiler dans les airs à travers les nuages et regarder la beauté des paysages.

    2.) Si j'étais une COULEUR, je serais le MAUVE, couleur toute en douceur et pleine de délicatesse.

    3.) Si j'étais une SAISON, je serais le PRINTEMPS, début du renouveau des plantes dans la nature et période de mise-bas donc de progéniture nouvelle pour les animaux.

    4.) Si j'étais une QUALITE, je serais le RESPECT; le respect des personnes, de la nature, de l'environnement, qualité indissociable de la TOLERANCE.

    5.) Si j'étais un DEFAUT, je serais l'INDECISION dûe à l'angoisse de faire le mauvais choix.

    6.) Si j'étais une CHANSON, je serais "FIO MARAVILHA" du chanteur brésilien Jorge Ben, mais dans une adaptation française de Boris Bergman et chantée par Nicoletta. Des bidonvilles peuvent sortir de belles musiques et de jolies sambas. Toutefois, j'y associerais "ELLA, ELLE L'A" chantée par France Gall en hommage à Ella Fitzgerald et qui, elle aussi, associe la musique à une origine de pauvreté et, d'où finalement, sortent des airs empreints d'amour et de joie intérieure sublimes.

    7.) Si j'étais un ADJECTIF, je serais EMOTIVE; synonyme de trop d'implication personnelle dans mes démarches.

    8.) Si j'étais un SENTIMENT, je serais l'AMITIE; celle qui allie conseils, affection, honnêteté et fidélité.

    9.) Si j'étais une BOISSON, je serais le GINI, boisson à boire très fraîche, qui pétille et contient du citron vert. "La plus chaude des boisssons fraîches".

    10.) Si j'étais un FROMAGE, je serais un CHAOURCE bien crémeux. Un fromage riche en matière grasse (il ne faudrait pas), mais qui fond légèrement dans la bouche et coule comme un délice dans la gorge.


    ..... Un "si j'étais", une proposition bien personnelle dans votre commentaire, ce serait génial et très INTER-ACTIF !!! Un petit truc personnel pris au choix dans cette liste juste pour vous connaître un peu plus, ce serait très sympa!!
     

    Passez un bon dimanche ! 

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  • Dans le fond de mes tiroirs, je viens de retrouver un poème que j'avais écrit en 2007
    à l'occasion d'un petit concours.
    Le thème en était "L'ivresse" et ne devait pas dépasser 16 vers.


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    Je vous le propose aujourd'hui en toute modestie.


    L'ivresse

    L'ivresse à la Verlaine 
    qui conduit à la haine.
    La déchéance dans l'ivrognerie 
    alimentée par la jalousie.

    L'ivresse du pouvoir
    qui a mené à la victoire.
    Celle de l'extase de la joie
    et de l'estime de soi.

    L'ivresse des sens, par moments,
    portée par les sentiments,
    accompagnée de gestes sensuels
    bien loin de l'habituel.

    L'ivresse, ce trouble de l'esprit
    qui engendre la griserie,
    l'extase ou l'excitation,
    trouve son apogée dans l'exaltation.

    Monique GUAY/Alrisha



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  • Charlie Chaplin
     
     
    Qui ne connaît pas cet acteur, réalisateur, producteur et scénariste burlesque britannique qui sait amuser ses spectateurs par son jeu de mime et de clownerie !
     Ce fut l’une des personnes les plus créatives dans le cinéma muet.
     
    Son personnage « CHARLOT » est un "sans domicile fixe" qui a des manières raffinées et dignes 
    d’un gentleman coiffé d’un chapeau melon, 

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    vêtu d’une veste étriquée ainsi que d’un pantalon tombant et portant une canne souple de bambou. 
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    Toutefois, c’est un « vagabond » asocial, obstiné et sentimental.
     
    En 1923. Charlie Chaplin est enfin devenu un cinéaste indépendant.
     
    LA RUEE VERS L’OR
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    "La Ruée Vers l'Or" fut tournée en 1925 en studio en noir et blanc et nécessita des moyens colossaux.
     
    L'on passe rapidement et sans transition de la tristesse à la joie, du rire aux larmes, et inversement. Ce clown de Chaplin, court de partout, saute dans tous les sens, tombe de haut et multiplie avec son seul visage les expressions de joie, de peine, d'incompréhension ou de peur. On est emporté par son talent d’interprétation.
     
    Résumé du film
     
    À la fin du siècle dernier, Charlot tente sa chance parmi les chercheurs d’or qui envahissent l’Alaska ; là, il affronte une nature hostile, un monde de brutes avides et sans scrupules. Dans une cabane perdue au milieu des neiges, il partage son infortune avec deux compagnons des moins recommandables : un dangereux bandit, Black Larsen (Tom Murray), et un brave géant, Big Jim McKay (Mark Swain), que la faim pousse toutefois aux pires extrémités.
    Les péripéties les plus incroyables, voire héroïques, contraignent Charlot à manger ses godillots et à en savourer les lacets comme des spaghettis, à empêcher la cabane de tomber dans le vide, à tuer un ours, à sauver Big Jim, à évincer Larsen et enfin à tomber amoureux de Georgia (Georgia Hale) sans comprendre qu’elle lui préfère le beau Jack (Malcolm Waite). Heureusement Big Jim a fini par trouver un filon et partage avec Charlot qui séduit enfin Georgia.
     
    Rompant avec les espaces urbains qui constituaient le cadre de ses premières mises en scène, Chaplin investit avec son deuxième long métrage les contrées glaciales du Grand Nord et pousse à l’extrême les thèmes qui habitent toute son œuvre : la misère, la solitude, la lutte pour survivre dans un monde profondément cruel.
     
    Mais cette « comédie » atteint d’emblée une grandeur tragique rarement égalée. Sommet de poésie dramatique, 
    le film provoque le rire par ses épisodes comiques d’anthologie
     
     (le repas du godillot avec ses lacets / spaghettis et ses clous / os,
    (cliquer ci-dessous)
     
     la danse des petits pains)
    (cliquer ci-dessous)
     
    qui vient soulager l’angoisse ressentie devant l’horreur de la condition des laissés-pour-compte.
     
     
    A l’occasion des trente ans de la disparition de Charlie Chaplin en 1977, la Ligue de l’Enseignement et notamment Nadia MEFLAH a invité des élèves de CE1 et des collégiens à regarder, entre autres, le film remastorisé « LA RUEE VERS L’OR ». C’est selon elle une formidable occasion de faire connaître le NOIR ET BLANC et le cinéma muet.
    Les enfants ont très apprécié et beaucoup ri à en croire le reportage que je viens de voir sur TF1 13h.
     
    Plusieurs de ses films sont sortis en DVD. Je pense que ce film là, en particulier, pourrait très bien faire partie de la filmothèque de chaque famille.
     
      A l'occasion des Fêtes de fin d'année, j'ai acheté le coffret édité chez MK2 comprenant "Le Kid", "Le cirque" et "La Ruée vers l'or" que je vous recommande.
     
     
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