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Au loin, Vaux-sous-Coulombs, un hameau de Seine-et-Marne
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Au premier plan, l'église de mon village et au fond, l'église et les ruines du château du village voisin, tous deux villages de l'Aisne.
Dans le fond, la vallée du Clignon.
Là, c'est le hameau de Bremoiselles, en Seine-et-Marne, sur la rive gauche, alors que Brumetz, mon village, se trouve par ici en face sur la rive droite. A 100m du village, c'est la séparation entre les deux départements.
Ma région est très valonnée et très boisée.
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Cette légende pour faire plaisir à SANTOUNETTE.
Mais, bien sûr elle peut être appréciée par tous.
La légende du martinet (SAINT MARTIN)C'était,il y a fort longtemps, dans le Santerre, nonloin de Moreuil. Un paysan ravi regardait seschamps. Il avait semé du chènevis et c'était là uneexpérience nouvelle, que personne avant lui n'avaittentée. Sa récolte levait bien. Grâce au chanvrequ'il comptait récolter, il obtiendrait, avec les tigesdes fibres textiles, de quoi faire sacs et cordes qui sevendraient bien au marché.Quelque temps plus tard, l'heure n'était plus aucontentement : certes, la récolte était belle; mais àmesure que les grains de chènevis mûrissaient, unvol noir d'oiseaux sortait des frondaisons voisines,s'abattait sur ses champs pour en dévorer le grain.II mobilisa sa famille qui, heureusement, était nom-breuse. et tout un chacun se mit à faire l'épouvantailpour tenir éloignés les oiseaux. De l'aube jusqu'ausoir, toutes les énergies se concentraient sur cettetâche ingrate. Aucun autre travail ne pouvait plusse faire. La situation devenait intenable! Puis vintle dimanche. Les oiseaux tournoyaient. Il était doncimpossible de se rendre à la messe sans risquer decompromettre la récolte mais manquer la cérémoniedonnait au paysan le sentiment d'être, tel Judas, ende compromettre son salut pour quelquesdeniers. Désespéré, il tomba à genoux et implorasaint Martin, son saint patron, de trouver une solu-tion qui préserverait tant son âme que le durlabeur qu'il avait accompli. Sa foi devaitêtre si exemplaire que le saint se laissaaussitôt fléchir. On vit en un instant levol noir des oiseaux s'élever haut dansle ciel puis piquer vers la forêt voisineStupéfaits, le paysan et sa famillepurent ainsi se rendre à l'office et ilen fut de même chaque dimanche,jusqu'à ce que la récolte fût rentrée.On donna à ces oiseaux qui obéissaientsi bien à saint Martin le nom de martinets.En outre, pour les remercierde respecter la récolte, il fut dèslors d'usage de toujours leurlaisser quelques belles touffesde chanvre sur pied.LEGENDE DE PICARDIE
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Ouf, un peu de répit: depuis ce matin, MENAGE:
-passer l'aspirateur - -s'occuper des plantes vertes
- -faire la poussière
- mettre une lessive en route puis étendre le linge: ma housse de couette préférée que je veux remettre sur le lit ce soir
- donc, je me suis "battue" pour qu'elle s'étende bien sur les deux fils à linge afin qu'elle sèche plus vite
- maintenant, c'est l'heure du repas qui arrive: MAIS aujourd'hui, ce sera du "RAPIDE" avex des côtes de porc et des nouilles
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J'AVOUE QUE TOUT CELA EST UN PEU TERRE A TERRE, n'est-ce pas SONIA? Toi qui sais si bien SUBLIMER chaque nouvelle journée par de magnifiques poèmes. - Quant à KATE, ton expression "NE T'INQIUIETE PAS" me rappelle une AMIE qui me dit souvent la même chose. Je suis toujours en train de chercher CE QUI A PU PLAIRE OU DEPLAIRE DANS MES PROPOS et je suis assez "fragile" de ce côté là.
Aujourd'hui, les oiseaux chantent,les papillons volent et il y a quelques éclaircies dans le ciel. La température est assez douce, ALORS, je vais sûrement "LARGUER LES AMARRES" et prendre mon appareil-photo pour aller dans la friche au-dessus de chez moi. C'EST L'AVANTAGE D'HABITER A LA CAMPAGNE ET D'ËTRE EN RETRAITE.
Donc, à tout à l'heure pour le retour sur Internet et mettre des commentaires sur mes BLOGS AMIS.
J'esssaierai de mettre quelques photos pour "ATTIRER" MICHKA.
A +, Alrishavotre commentaire
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Fin mai, mauvaise surprise ! Mon mari s'aperçoit de l'arrivée de chenilles sur notre cerisier. Elles ont déjà bien commencé à manger les feuilles. Pas d'hésitation (n'en déplaise aux écolos), il faut pulvériser une solution pour éliminer ces mangeuses sinon pas de cerises en vue sur l'arbre.
L'effet a été radical; plus de chenilles et nous avons pu récolter les fruits un peu plus tard.
Le 4è photo est saisissante; quel ravage en peu de temps sur cette branche !6 commentaires
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Lors de notre séjour en Val de Loire, la visite du château de Chenonceau le 23 mai 2007.
Le château de CHENONCEAU en Indre-et-Loire enjambe le Cher comme une passerelle et déploie son image sur l'eau en miroir. Il est surnommé le "château des Dames" parmi les plus belles de France comme Diane de Poitiers, Catherine de Médicis ou Louise de Lorraine.
A partir de 1535, François 1er l'utilise comme rendez-vous de chasse.
Après avoir cheminé sous une grande allées de platanes, on passe entre 2 sphinx puis l'on franchit un pont pour rejoindre une terrasse entourée de douves.
A gauche, s'étend le jardin de Diane de Poitiers et à droite, celui de Catherine de Médicis semés de fleurs diverses.
En face, se dresse le donjon. Le château se compose d'un corps de logis carré avec des tourelles aux angles. Sur le pont du Cher s'élève la galerie à deux étages. Au rez-de-chaussée, salle des Gardes, chapelle, les cuisines, la chambre de Diane de Poitiers, le Cabinet vert de Catherine de Médicis, la librairie et la chambre François 1er.
La grande galerie longue de 60m se prolonge par un pont-levis qui donne accès aux espaces boisés de la rive gauche du Cher.
Au 1er étage, on entre dans plusieurs chambres.
Au 2è étage, la chambre de Louise de Lorraine, veuve inconsolable du roi Henri III impressionne par ses velours et ses rideaux noirs.
Derrière la ferme, dans un enclos, les visiteurs se perdent dans un chatoiement de couleurs de plantes aussi variées les unes des autres. Ils peuvent ensuite se promener dans un parc de 70 ha.8 commentaires
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