• Outre les aubades musicales et le festival de folklore étalés du 22 au 24 juin, ce dimanche 24 juin 2007, c'étaient le défilé des 47è Fêtes Jean de La Fontaine à Château-Thierry (02) sur le thème; "L'EAU DE LA FONTAINE".
    A travers les rues de la ville, plusieurs formations musicales du secteur (l'Union musicale de Château-Thierry, le R.E.V. d'Etampes-sur-Marne, les majorettes Jean de La Fontaine, le Far-West de l'Omois, la fanfare de Chézy-sur-Marne, les Sam's Majors de Saulchery) du département (Vierzon et St Quentin), des départements voisins (musique d'Epernay, batterie-fanfare Stanislas de Nancy et le Vogesia de Colmar), et de l'étranger (Loffel Guggis d'Allemagne et une formation hollandaise), ont animé le défilé de chars décorés selon les fables suivantes: le Petit Poisson et le Pêcheur, le Meunier, son fils et l'âne, le Jardinier et son Seigneur, le Laboureur et ses enfants, les Médecins, le Cygne et le cuisinier, le Laitière et le Pot au lait, l'Enfant et le Maître d'école, l'Astrologue qui se laisse tomber dans un puits, le Marchand, le Gentilhomme, le Pâtere et le Fils du Roi.
    On peut saluer la fidélité de la commune d'Etampes-sur-Marne fidèle à ce poste depuis 47 ans sauf en 1998 où les Fêtes avaient été annulées pour cause de coupe du monde de foot-ball. Cette année, la fabrication des fleurs en papier pour la Laitière et le Pot au lait a demandé la participation d'une quinzaine de personnes âgées de la commune. D'avril à mai, 15 000 fleurs au total pour la laitière de 2,60 m de haut, la vache, le cochon, le coq et le canard.Six enfants habillés en jaune ont figuré les poussins.
    Beau temps, bonne humeur, jets de confettis et foule au rendez-vous.Tous les manèges ont trouvé preneurs. Apothéose le soir avec le spectacle pyrotechnique musical tiré sur le bord de la Marne.

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    Vogesia de Colmar                                          Avenir Music d'Epernay

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    Le Meunier son fils et l'Âne                               Groupe musical de Vierzon

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    Un géant                                                      Le Jardinier et son Seigneur

     

    Les Majorettes Jean de La Fontaine                      Loffel Guggis (Allemagne)

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    DSC-6010.JPG  La Laitière et le Pot au lait (Etampes-sur-Marne)

    La batterie-fanfare de Chézy-sur-Marne

    Ces photos ne sont qu'une partie des chars et formations qui ont composé le défilé. Cette manifestation annuelle attire des curieux de la Picardie, de la Champagne et aussi de la régoion parisienne.
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  • Le CAFE PEDAGOGIQUE dans son EXPRESSO du 26 juin 2007, place en "fait du jour" l'actualité suivante: "EN PRIMAIRE, PRESQUE UN ELEVE SUR DEUX SE TROUVE EN SEMAINE SCOLAIRE DEROGATOIRE".
    Dans cet aménagement des rythmes scolaires figure la semaine de 4 jours (lundi, mardi, jeudi et vendredi). La demi-journée du samedi matin se reportant en compensation sur un allongement des semaines d'enseignement et par là le raccourcissemnt des vacances. Les écoles pratiquant ce système bénéficiant d'un calendrier dérogatoire fixé par l'Inspecteur d'Académie de département.
                                              A l'époque, quand j'étais instit, les enseignants avaient été amenés à organiser des moments de concertation afin de se déterminer au sujet de cet aménagement des rythmes scolaires. Ce plan proposait aussi la possiblité de reporter le samedi matin au mercredi matin.
    J'étais favorable au statu quo (4 jours et demie c'est-à-dire en maintenant le samedi matin). L'absentéisme du samedi matin commençait à prendre de l'ampleur. Je retrouvais ces élèves le lundi après 2 jours de soit-disant "repos". Il n'en était rien. Les parents au nom du "confort de la vie de famille" partaient en long week-end en enfilant les kilomètres en voiture ou faisaient la fête jusque des heures tardives ( les enfants y participant bien sûr). Si bien que les élèves revenaient en classe le lundi avec une extrême fatigue, complètement déconnectés du travail scolaire. Pas ou peu de concentration: des heures "perdues" pour ces enfants.
    Selon une synthèse de ces dérogations pour l'année 2006-2007, où 95 départements sur 100 ont répondu, 8 départements n'ont aucune école ayant adopté un aménagement de la semaine scolaire.
                                               Transfert du samedi matin au mercredi matin, 5% des élèves concernés.
    L'ensemble des dérogations (du calendrier dérogataire), concerne 34% des élèves actuellement.

    Soyons clairs, la semaine de 4 jours arrange les parents, les voyagistes, mais les spécialistes de l'enfant sont contre. Elle ne respecte pas les tythmes biologiques de l'enfant
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  • Quelques photos insolites prises lors des 47è Fêtes à Jean à Château-Thierry, ce dimanche. Le célèbre saut à l'élastique mais avec les fêtards bien calés dans une boule. L'émotion se lit sur les visages.

    Les 2 mâts de support.



    Petit satellite dans les airs.



    La descente s'amorce.

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    Au creux de la vague.

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    Des sourires crispés.

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    "En tenant le harnais, j'aurai moins peur."

    Et demi-tour en arrière.

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    Le retour à l'endroit.

     

     

     

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  • Lors de ma visite à la classe de mon village, ce jeudi 5 avril 2007. Quelques photos des activités programmées pour les élèves: en l'occurence ceux de CE1-CE2 de l'école de BRUMETZ (02) lors de leur séjour du 02 au 06 avril 2007 à la ferme pédagogique de "la Berque" à Nampteuil-sous-Muret (02), près de Soissons. 

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    Grâce à des aides financières, le propriétaire a converti d'anciennes granges en dortoirs, salle à manger, cuisine, salle de réunion, de projection et multimédia. Elevage d'animaux de basse-cour, chevaux, poneys, moutons; cultures en plein champs, mares et pâturages.

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    Outre les scolaires, d'autres groupes sont accueillis le reste de l'année.

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    Photo de la ferme prise à flans de côteaux lors de notre sortie-nature à la découverte des plantes des chemins et des talus.
     

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    De nombreux commentaires sur le rôle de la flore dans la nature sur des panneaux mais surtout par le propriétaire, passionné de botanique.
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    Récolte des plantes qui serviront, pour certaines, à la soupe du soir mais aussi à fabriquer un herbier.

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    Les explications sur le déroulement de la fin de journée après cette balade dans la nature.

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    Lors de la plantation des pommes de terre.

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    L'étrillage des chevaux.

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    Poules, coqs, dindons, cochons, lapins, oies, ...., que les enfants ont appris à nourrir et à observer.



    Préparer les repas, faire son lit, faire le ménage et surtout le rangement de sa chambre, ...., chaque tâche était programmée à tour de rôle. 
    Soirées contes, reportage filmé et lettre aux parents avec envoi par courrier ordinaire ou par mails.
    RETROSPECTIVE AVANT FIN JUIN A L'ECOLE POUR LES PARENTS, et la boucle sera bouclée pour ces enfants heureux d'avoir participer à cette expérience enrichissante grâce à l'aide de la coopérative scolaire, des familles et de l'éducation nationale.

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    • Pour les visiteurs de Picardie, 


      un passionné de généalogie a ouvert le site suivant:


      http://jomave.chez-alice.fr/picardie/frgenweb.html



      Il vous envoie sur 

      GENEALOGIE PICARDE (AISNE,OISE, SOMME) 

      qui vous dirige vers une foule de renseignements: 

      sur les communes picardes
      les localisations départementales
      les clochers en Picardie
      les archives départementales
      les livres et ouvrages
      les cartes postales anciennes
      les maires et notaires de l'Aisne.




      De temps en temps, je vous proposerai des panoramas de manifestations qui ont lieu dans la région. 

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    Au loin, Vaux-sous-Coulombs, un hameau de Seine-et-Marne

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    Au premier plan, l'église de mon village et au fond, l'église et les ruines du château du village voisin, tous deux villages de l'Aisne.


    Dans le fond, la vallée du Clignon.

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    Là, c'est le hameau de Bremoiselles, en Seine-et-Marne, sur la rive gauche, alors que Brumetz, mon village, se trouve par ici en face sur la rive droite. A 100m du village, c'est la séparation entre les deux départements.

    Ma région est très valonnée et très boisée. 

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  • Cette légende pour faire plaisir à SANTOUNETTE.
    Mais, bien sûr elle peut être appréciée par tous.


    La légende du martinet (SAINT MARTIN)
     
     
    C'était,il y a fort longtemps, dans le Santerre, non
    loin de Moreuil. Un paysan ravi regardait ses
    champs. Il avait semé du chènevis et c'était là une
    expérience nouvelle, que personne avant lui n'avait
    tentée. Sa récolte levait bien. Grâce au chanvre
    qu'il comptait récolter, il obtiendrait, avec les tiges
    des fibres textiles, de quoi faire sacs et cordes qui se
    vendraient bien au marché.
    Quelque temps plus tard, l'heure n'était plus au
    contentement : certes, la récolte était belle; mais à
    mesure que les grains de chènevis mûrissaient, un
    vol noir d'oiseaux sortait des frondaisons voisines,
    s'abattait sur ses champs pour en dévorer le grain.
    II mobilisa sa famille qui, heureusement, était nom-
    breuse. et tout un chacun se mit à faire l'épouvantail
    pour tenir éloignés les oiseaux. De l'aube jusqu'au
    soir, toutes les énergies se concentraient sur cette
    tâche ingrate. Aucun autre travail ne pouvait plus
    se faire. La situation devenait intenable! Puis vint
    le dimanche. Les oiseaux tournoyaient. Il était donc
    impossible de se rendre à la messe sans risquer de
    compromettre la récolte mais manquer la cérémonie
    donnait au paysan le sentiment d'être, tel Judas, en
    de compromettre son salut pour quelques
    deniers. Désespéré, il tomba à genoux et implora
    saint Martin, son saint patron, de trouver une solu-
    tion qui préserverait tant son âme que le dur
    labeur qu'il avait accompli. Sa foi devait
    être si exemplaire que le saint se laissa
    aussitôt fléchir. On vit en un instant le
    vol noir des oiseaux s'élever haut dans
    le ciel puis piquer vers la forêt voisine
    Stupéfaits, le paysan et sa famille
    purent ainsi se rendre à l'office et il
    en fut de même chaque dimanche,
    jusqu'à ce que la récolte fût rentrée.
    On donna à ces oiseaux qui obéissaient
    si bien à saint Martin le nom de martinets.
    En outre, pour les remercier
    de respecter la récolte, il fut dès
    lors d'usage de toujours leur
    laisser quelques belles touffes
    de chanvre sur pied.
     
     
    LEGENDE DE PICARDIE
     

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