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Par Alrisha le 31 Janvier 2009 à 00:07
Merci de me suivre en mon absence!
Là, c'est à moto-neige que la balade continue.
Un petit coucou au passage à nos FREERIDERS, Pat et Sosso.
De bien beaux engins que ces motos-neige !
Motards tous les deux, Gabriel et Christelle ont fort apprécié cette virée à travers les étendues enneigées.
Demain, on en prend plein les yeux avec des paysages sous la neige de toute beauté.
Bien qu'absente de vos blogs, je pense à vous et espère que vous appréciez
ces articles programmés!
Bisous à vous tous et bon samedi !
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Par Alrisha le 30 Janvier 2009 à 00:09
Je vous invite à me suivre aujourd'hui sur le lac gelé de Roche pour une pêche à la truite en milieu glacé.
A l'aide d'une tronçonneuse spéciale appelée tarière, le trappeur qui sert de guide à toute la troupe des vacanciers, creuse la glace de plus en plus profondément
jusqu'à la percer entièrement et atteindre ainsi l'eau qui jaillit en tourbillonnant montrant ensuite un gros trou à l'air libre.
Le guide explique la mise en place de l'hameçon.
Il n'y a plus qu'à attendre, comme le fait Gabriel, en position accroupie ou debout et maintenir la ligne au-dessus du trou tout près du repère, un petit bâton rouge placé à côté du trou.
Voilà une prise ! Cette dame a été chanceuse ; la voilà qui s'évertue, avec de grands gestes, à enlever l'hameçon.
Auparavant, un petit feu d'appoint avait été fabriqué avec quelques morceaux de bois.
En effet, le poisson sitôt pêché est coupé sur place en lamelles
qui sont mises à cuire à la poêle.
Voilà le résultat ! Il n'y a plus qu'à déguster.
Merci de votre passage en mon absence !
On continue notre randonnée demain
si vous le voulez bien !Bon vendredi à tous !
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Par Alrisha le 20 Novembre 2008 à 14:16
Lors de notre séjour dans les Vosges, nous en avons profité pour visiter le Confiserie Des Hautes Vosges.
Installée à Plainfaing depuis 1986, la Confiserie Des Hautes-Vosges fabrique aujourd'hui 190 tonnes de bonbons par an à feu nu. J'ai fait partie des 160 000 visiteurs qui sont accueillis chaque année et j'ai pu assister à la fabrication restée artisanale et familiale de ces succulents bonbons.
Je vous la fais découvrir en quelques clichés celle à laquelle j'ai assisté, c'est-à-dire, celle des bonbons au miel des Vosges. Mais il en existe bien d'autres sortes comme les bonbons d'antan comme les violettes, les coquelicots, les plaques à l'ancienne, les bergamotes de Nancy, et bien sûr les célèbres bonbons des Vosges.
Fabriqués comme autrefois, ces bonbons sont cuits à feu nu dans des chaudrons en cuivre. La confiserie utilise des matières premières ainsi que des arômes de première qualité afin d'obtenir des saveurs incomparables.
On additionne du sucre mélangée à de l'eau chauffée sur le gaz puis du sirop de glucose.
On verse le tout sur une plaque chauffée grâce à un circuit d'eau.
Après avoir incorporé des arômes naturels, on travaille la pâte en la relevant à partir des bords de nombreuses fois.
Le mélange ainsi obtenu ira aussitôt au moulage et découpage.
Après avoir pesé on emballe les bonbons.
Rien n'est perdu. Les morceaux sont mis sous forme de plaques brutes qui seront cassées grossièrement et vendues en sachets moins chers bien sûr.
Dans l'immense boutique,
avant de partir, nous en avons profité pour acheter toute une cargaison de bonbons aux saveurs différentes.
Pour visiter leur site, allez sur « CONFISERIE DES HAUTES VOSGES »
Merci pour votre vote!
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Par Alrisha le 31 Octobre 2008 à 16:24
Au sein du « Jardin des Bêtes » en Aveyron pas loin de Rodez, sous le hangar, tout près de la sortie, nous avons visité « l'Aveyron en poche », un spectacle "Son et Lumière" de 30mn.
C'est une reconstitution miniature de quelques maisons typiques de quatre villages typiques aveyronnais (La Couvertoirade, Roquefort, Laguiole et Marcillac-Vallon) avec mise en scène des santons et d'automates.
Des centaines d'automates animent les maquettes. Un souhait des propriétaires du parc de mettre en scène tous les gestes, métiers et coutumes du Rouergue du temps jadis, qui est tout à leur honneur car, rien ne leur a échappé du jeu de quilles à la préparation de l'aligot. La reconstitution d'un éclair au-dessus du village d'Aubrac est particulièrement réussie.
Là, une place de village reconstituée,
Plus loin, un berger et ses moutons en train de s'abreuver.
Au fur et à mesure de la visite, des spots éclairent différentes scènes en laissant le reste dans la pénombre et là,
on voit les automates s'animer au son de chants et danses par exemple, quand c'est une farandole qui est présentée comme là au centre de l'image. On distingue à droite, un maçon finissant une toiture, ...
Là, on voit des vendangeurs au travail.
Le ramassage de la paille où l'on voit un homme couché, en plein repos après son dur labeur.
Des femmes allant à la messe suivant le curé et les enfants de chœur.
Et tout en haut, (j'ai grossi l'image), on voit les vaches monter en transhumance vers les plateaux d'Aubrac.
J'ai pensé à SANTOUNETTE en prenant ces clichés. Si vous ne la connaissez pas encore, allez voir son site « Santons et crèches de Provence ». Elle y raconte des scènes pastorales de Provence grâce à de magnifiques santons qu'elle a rassemblés ou découverts chez des santonniers fabricants. C'est tout à fait passionnant et j'avoue qu'à chaque fois je prends un grand plaisir à découvrir ses nouveaux articles.
Pour ceux ou celles qui fêtent HALLOWWEEN, bonne Fêtes !
Pensez à voter pour mon site! Merci !
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Par Alrisha le 27 Octobre 2008 à 00:12
Après la visite du Sacré Cœur, direction Place du Tertre tout en laissant le passage au Montmartrobus ainsi qu'au petit train.
Rencontre avec un premier artiste qui croque un jeune garçon sous les regards curieux des touristes.
Pour les touristes de passage, à l'ombre des grands arbres, il fait bon se restaurer. Les peintres en ont profité pour exposer leurs œuvres.
Huiles, gouaches, pastels, aquarelles, ...., le choix pour un souvenir de Paris.
Nous contournons par la droite. Tous les bistrots affichent complets. Pas de place pour s'asseoir.
Les croqueurs de portraits font recette sous leur parasol gris.
Ouf, une table libre. J'invite Odile à prendre un demi au « Clairon des chasseurs ». Elle en profite pour me prendre en photo et je fais de même en guise de souvenir.
Odile, notre charmeuse de premier ordre, a su s'attirer les sympathies de ce charmant serveur tout droit sorti du temps des guinguettes. Sans parler du gitan et son accordéon qui lui a sorti le grand jeu avec un formidable air de tango.
Lors du retour, petit cliché vite fait sur la portière d'un automobiliste juste pour se remémorer que l'on était en plein mondial de l'automobile à Paris.
Un dernier regard sur une boutique de souvenirs avant de descendre en funiculaire et s'engouffrer dans le métro puis direction notre campagne Sud Picarde.
A demain, pour admirer un animal peu commun.
Je vous souhaite un bon lundi !
Merci pour votre vote en prenant quelques secondes de votre temps !
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Par Alrisha le 14 Octobre 2008 à 00:07
En ce jeudi 9 octobre dernier, nous voilà, mon amie Odile et moi, arrivées au cimetière du Père Lachaise. Un ciel dégagé et les couleurs de l'automne au rendez-vous nous ont incitées à le visiter. Aujourd'hui, quelques clichés pour un premier aperçu puis d'autres billets avec des photos et des détails plus précis sur certaines sépultures rencontrées.
Le cimetière de l'Est, communément appelé cimetière du Père-Lachaise, est la nécropole la plus prestigieuse et la plus visitée de la capitale. Un million de personnes y ont été inhumées à ce jour et plus de deux millions de visiteurs s'y rendent chaque année. Pourtant, lorsque le cimetière ouvre ses portes le 21 mai 1804, les Parisiens se montrent réticents. En effet, onze ans plus tard, en 1815, on ne compta même pas 2 000 tombes sur 17 hectares, au point que les responsables imaginent une opération publicitaire d'envergure.
En 1817, les corps supposés être ceux de La Fontaine et de Molière sont rapatriés au Père-Lachaise (25ediv.), ainsi que ceux d'Héloïse et d'Abélard (7e div.). Dès lors, les chiffres s'envolent. En 1830, 33 000 tombes sont dénombrées. Il faut songer à accroître le terrain. Entre 1824 et 1850, six agrandissements successifs permettent au Père-Lachaise d'atteindre sa surface actuelle, soit 44 hectares. Aujourd'hui le cimetière totalise 70 000 concessions environ.Passé l'entrée,
nous voilà dans la grande allée centrale.
Une pancarte nous renseigne mais un plan est nécessaire pour se localiser et approcher certaines tombes.
Je suis étonnée par sa superficie. De simples balayeurs ne suffisent pas et on a recours à la balayeuse mécanique pour dégager les allées.
Les arbres sont magnifiques et sans doute centenaires pour certains. Un cèdre du Liban fait notre admiration. Planté en 1870, il mesure 18m de haut et 2,65m de circonférence.
« France, souviens-toi ... » écrit cette jeune enfant. Nous sommes au cœur des souvenirs et certaines sépultures rivalisent de sculptures toutes aussi impressionnantes les unes que les autres.
Ce premier aperçu montre les premières couleurs d'automne qui garnissent cet endroit comme un bel hommage à tous ces défunts.
A ces prochains jours pour la suite si vous le voulez bien !
Passez un bon mardi !
Merci pour votre vote !
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Par Alrisha le 11 Octobre 2008 à 19:55
Comme j'aime ces façades à colombages, ces ruelles fleuries et pavées! Grosse influence allemande avec ces énormes bâtisses colorées. Sur la place du marché à Munster, le patois alsacien est encore beaucoup parlé. Je m'y suis sentie bien tout comme en Allemagne où nous allons parfois chez nos amis.
Là, ce sont des photos prises à Riquewihr et à Ribeauvillé que je vous présente.
Encore merci pour votre vote !
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