• Le Henson, ou cheval de la baie de Somme, est une race chevaline française dont l'idée émerge au début des années 1970 sur le site du Marquenterre. Issue de croisements entre des chevaux de sang chaud de race Selle français et Anglo-arabe, entre autres, et des chevaux Fjord à sang froid d'origine norvégienne, elle est créée afin d'obtenir une monture adaptée au tourisme équestre, alors en plein essor dans la baie de Somme.

    La création de l'Association des cavaliers de la Baie de Somme permet de superviser la naissance de chevaux de première génération suffisamment nombreux ; la race naît réellement lorsque ces animaux sont croisés entre eux. Les Henson commencent désormais à s'exporter en dehors du Marquenterre, grâce notamment à leur reconnaissance par les Haras nationaux en 2003. Ils sont devenus l’emblème de leur région natale, et de l'équitation d'extérieur.

    Légende : Bien que son origine réelle soit parfaitement connue, la race Henson est associée à une légende, selon laquelle Dieu contemplait la baie de Somme balayée par des vents et des marées déchaînés lorsqu'il voulut en immortaliser l'image. Il ramassa alors une poignée de sable, souffla dessus et donna vie à un cheval couleur de sable. Qu'il fut rêveur ou qu'il ait jugé la robe de l'animal trop claire, il laissa courir l'un de ses doigts sur le dos de la bête et traça une ligne sombre le long de son échine, « l'imprimatur divin ».

    Source Wikipedia

     

    C’est dans les pâtures que je vous les montre. Ils étaient tout près du bâtiment d’accueil en vue de la randonnée à la recherche des mouflons.

     

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    Quelle beauté !

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    Des cabrioles pour honorer la photographe !!!!

    Et oui, je suis une vedette !

     

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    Un petit galop pour se dégourdir les jambes !

     

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    Bon dimanche à vous !

     

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  • Alors que les sangliers adultes se sont sauvés (voir l'article d'hier), ce sont maintenant des marcassins qui se montrent. Une grande ribambelle traverse l'étendue herbeuse. On distingue à peine leurs dos rayés. Il faut avoir de bons yeux pour distinguer leurs corps. Plusieurs clichés alors qu'ils courent, s'arrêtent ou qu'ils regardent vers nous un peu déboussolés de ne plus être auprès de leur mère.

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    Ils vont vers la droite, reviennent vers la gauche.

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    En dernier, ils finissent par se sauver après avoir sauté un fossé.

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    Dernier regroupement auprès d'un arbre.

     

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    Toujours dans le domaine du Marquenterre demain !

     

     

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  • Toujours sur le parcours pour aller voir les mouflons, plusieurs sangliers ont surgi tout-à-coup, traversé le chemin et monté le talus à toute vitesse. Images floues car je n'ai pas eu le temps de faire la mise au point.

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    Plus loin, on découvre une bauge à sangliers.

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    Enfin, montés sur un observatoire, nous avons eu la chance que des sangliers soient sur place en contre-bas. On les voit d'abord en train de brouter.

     

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    Puis, ils se sauvent à cause de quelques enfants, jeunes ados avec nous, qui ont fait trop de bruit.

     

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    Cerise sur le gâteau demain ! Suspense !

     

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  • Sur le parcours à la recherche des mouflons, dans un sous-bois, avec talus de chaque côté du chemin, tout-à-coup, ce sont des chevreuils que l'on aperçoit. Mon coeur bat la chamade. C'est si rare que j'en rencontre lors de mes balades par chez moi. D'après la guide au retour, on a été gâté par les rencontres animales. Dans d'autres sorties, ça n'a pas toujours été le cas. Tant mieux pour nous !

     

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    D'autres découvertes demain !

     

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  • Nous sommes toujours en ce lundi 23 avril, premier jour de notre escapade en Baie de Somme. Pour notre seconde sortie-nature, j’avais réservé une randonnée de 6 km sur le domaine du Marquenterre de 17h à 20h. Juste le temps de prendre un petit goûter après notre sortie en calèche et nous voilà à l’entrée du domaine dans un hall d’accueil à attendre nos guides. Nous sommes une quinzaine environ.

    Comme la pluie est tombée une bonne partie de l’après-midi, les guides décident de nous faire monter dans deux petites voitures électriques afin de gagner plus facilement les endroits où vivent les mouflons. Ouf de soulagement, car la boue et les ornières ne nous tentaient pas trop.

    Autre ouf de soulagement, la pluie avait cessé de tomber et le soleil faisait apparaître ses rayons. Une superbe luminosité soudain très peu coupée par les nuages.


    Précisons que le domaine du Marquenterre est indépendant du parc ornithologique. Il  le jouxte sur près de 1000 ha. Après avoir connu l’avancée des sables, les changements de végétation, les activités agricoles comme la culture de la tulipe, les activités forestières, la chasse ainsi que la guerre avec des dizaines d’ouvrages du mur de l’Atlantique, le domaine a été façonné par la famille Jeanson depuis 1923.

     

    C’est dans cette variété de paysages et de biotope en plein évolution que nous avons évolué à la recherche des mouflons. Cet animal est caractérisé par ses grandes cornes spiralées et recourbées. Il est à l’origine des races domestiques de moutons. Rare à cette latitude, il fut introduit pour entretenir naturellement la végétation. Quelques caractéristiques : poids des cornes : 6 à 13 kg ; poids adulte : 25 à 50 kg ; longueur des cornes du mâle : 85 à 125 cm ;  vitesse : 55 km/h. Les mouflons vivent en toute liberté. Toutefois, on les comptabilise régulièrement et on peut dire qu’ils sont quand même sous surveillance.

     

     C’est en silence et au milieu des pins que nous allons essayer d’approcher cet animal furtif, grégaire mais aussi parfois solitaire. Des paysages extraordinaires où le vert a de nombreuses couleurs changeantes.

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    Tout à coup, des mouflons en haut d’un talus sur le bord du chemin. C’est le regard aiguisé de notre jeune guide femme qui a permis cette découverte.  

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    Parfois, nous sommes dans des espaces très dégagés.  Au loin, tout un troupeau est en train de paître.

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    Petit arrêt en plein bois. On s’arrêtera plus tard plus longtemps pour aller à pied à l’approche des hardes.

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    Premier attroupement au détour d’un chemin.

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    Là, nous sommes plus proches d’une autre harde. Moments de curiosités, d’hésitations et enfin de fuite.

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    Une femelle et son petit.

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    Autre décor mais toujours en groupe.

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    Cette fois-ci un groupe avec des mâles. On distingue les cornes recourbées dans leur fuite en avant.

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    Chance ! Deux mâles de face ! Mais de loin d’où le flou. J’ai rapproché au maximum avec mon objectif 70-300. Ma focale était en 300 mm. Comme ils étaient deux, j’ai eu du mal à faire la netteté.

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    Sur le chemin du retour, groupe surpris de nous voir.

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    A nouveau un grand espace découvert et cette fois-ci un grand troupeau.

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    Zoom sur certains mouflons en guise d’un dernier cliché souvenir.

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    J’espère que vous avez apprécié ce partage !

     

    Demain, ce sont des chevreuils que je vous montrerai, toujours lors de cette sortie.

     

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  • Me voilà à nouveau parmi vous après quelques jours de repos ! Comme je vous l'avais indiqué dans ma Newsletter, je suis allée avec mon amie Odile, fin avril, au Festival de l'Oiseau en Baie de Somme (80). Plusieurs sorties-nature étaient réservées et comme le temps était maussade et pluvieux, il a fallu composer avec ces aléas climatiques.

     

    Dès notre arrivée le lundi 23 avril, après la passage à l'hôtel, le repas de midi à la Tablée du Marquenterre, nous voilà à 14h prêtes, avec d'autres visiteurs, à monter dans l'une des calèches pour aller à la découverte de la Baie. Pendant deux heures, grâce au tandem guide-cocher, et derrière deux beaux chevaux de trait, nous découvrirons la Baie et sa végétation environnante.

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    Notre cocher a encore des accents britanniques. Très tôt, après quelques études en France, elle quitte son Irlande natale pour ce coin du littoral français qui lui rappelle sa contrée. Elle dirige un attelage de 2 juments comtoises qui lui obéissent au doigt et à l'oeil. L'autre attelage est tiré par des juments boulonnaises.

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    Elle est en compagnie d'un guide-nature qui explique les spécificités de cette nature sauvage.

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    La mer est à marée basse et une pluie fine tombe. Après avoir traversé de grosses flaques d'eau et cahoté dans des ornières (pas de photos, trop de mouvements dans la calèche), on arrive au bord de l'eau.

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    Au loin, on aperçoit une randonnée à cheval.

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    la deuxième calèche.

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    Arrêt de notre calèche (la plus petite) et descente pour regarder la baie. Pluie, vent sont au rendez-vous et il est difficile de faire des photos.

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    Voici Odile qui tire sa capuche.

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    On voit bien des taches blanches sur les clichés. Ce sont des gouttes d'eau sur l'objectif.

     

    La deuxième calèche s'est arrêtée plus loin.

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    On remonte vite dans la calèche sans pouvoir regarder à la longue-vue les oiseaux.

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    Sous la bâche de la calèche, le guide nous parle du bec de l'avocette,

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    nous montre des oeufs et autres éléments que l'on peut apercevoir sur le sable par temps plus clément. On n'aura pas pu goûter aux plantes ! Dommage !

     

    Juste avant de remonter, j'ai pu photographier des avocettes qui pataugeaient dans l'eau.

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    On terminera par ce trio d'avocettes bien en harmonie.

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    Malgré le temps pluvieux et les très mauvaises conditions pour prendre des photos, je garde un bon souvenir de cette échappée dans le froid et le vent. A noter que les chevaux étaient, eux aussi, trempés mais qu'ils sont robustes et bâtis pour tirer de lourdes charges, comme ils le faisaient autrefois.

     

    On continue ces jours-ci en Baie de Somme ! Vous serez au sec pour me suivre ! Moi, souvent mouillée, mais de beaux clichés quand même !

     

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  • Après deux heures et demie de flâneries au milieu de tous ces jardins différents, nous redescendons tout doucement vers les espaces d’entrée. Passés la porte en arrondi entourée de bois en forme de losanges, nous avions pu rencontrer, à notre arrivée,  la propriétaire qui nous a accueillis gentiment. Un bel endroit de détente à l’ombre où elle était en train de sélectionner des plantes. Plusieurs arrosoirs sur place montrent son implication de tous les instants auprès de ses plantes. Elle m’a indiqué que je pourrai rencontrer une abeille solitaire noire assez rare. Effectivement, j’ai pu la photographier. Je vous l’ai déjà montrée en photo.

    Plusieurs sculptures et autres mosaïques agrémentent l’espace autour d’une source. Plus loin, c’est le premier porche d’entrée avec tuiles, tout près du parking que l’on aperçoit.

    Je me retourne une dernière fois pour mettre en boîte ce grand espace d’accueil où toute la nature s’offre dans toute sa splendeur.

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    La semaine prochaine, après quelques articles sur la poursuite des travaux extérieurs du gîte, on continue notre escapade en Périgord Noir avec Domme et la jolie ville de Sarlat.

     

    Demain, détente auprès de la baignoire balnéo de notre gîte rural.

     

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