On est le dernier jour du mois de janvier. J'en profite pour partager avec vous la deuxième série de cartes de voeux que j'ai reçues de la part de mes ami(e)s blogopotes.

 

Comme pour la première série d'hier, chaque carte a son charme. Des petits mots très personnalisés dans chacune d'elles.

Autant de souvenirs qui iront compléter mes albums.

Encore un grand merci à vous !

 

Cette carte de Dominique qui vit en Alsace a été envoyée dans le cadre d'un jeu lancé à l'occasion des fêtes par Agathe.Tout est fabriqué "main". Pas de blog véritablement. En lien, c'est sa page facebbok.

 

 

 

Siratus, notre sirène des mers, a tiré spécialement un de ses clichés du fond de l'eau aux Philippines pour me signifier toute son amitié. J'apprécie beaucoup. Carte que l'on retrouve aussi sur son blog pour ses voeux.

 

 

Linda de Belgique, tout comme moi, sait l'importance de la protection des oiseaux. Son cliché provient de la Ligue Royale Belge pour la Protection des Oiseaux.

 

 

Quichottine, plein de prévenance et de gentillessse dans ses souhaits, a choisi la reproduction "Impétueux crocus" parmi les nombreuses reproductions publiées par les "Artistes Peignant de la Bouche et du Pied", une édition basée en Alsace. J'achète également régulièrement des lots de cartes de cette association. Je trouve les réalisations pleines de fraîcheur.

 

 

Iris (Béatrice) a choisi la douceur de ce dessin naïf. Des souhaits de réussite pour notre futur gîte entre autres. De futures rencontres prévues pour 2011. Une amitié du Net qui prend de la consistance.

 

 

Un couple "jeunes d'esprit" et très fidèle, Jeanine et René, qui n'hésitent pas à s'éloigner à l'Ile Maurice pour passer les fêtes. C'est de là-bas qu'ils ont envoyé leur carte au lagon bleu bordé de cocotiers. Un paysage enchanteur. En plus une recette "Chutney de Pommes d'Amour Tomato Chutney" au dos de leur carte ! Un grand merci pour tant d'amitié !

 

 

Une jolie carte faite "main" par Andrée. On ne voit pas bien, mais le coeur découpé donne sur une magnifique photo de rose rose quand on ouvre la carte. Andrée est aussi photographe amateur et la nature est son jardin secret. Une charmante attention !

 

 

Une nouvelle carte de Jacqueline ! Et oui, étant allée pour la première fois en Tunisie, juste avant les évènements, elle a tenu à m'envoyer ses voeux de ce pays. Le bassin méditerranéen est aussi son berceau.

 

 

Plus tard, je vous montrerai d'autres cartes reçues des quatre coins de la terre. Faut dire qu'il y a vraiment des globe trotters parmi vous ! Vous en avez de la chance de pouvoir voyager ainsi !

 

Sur mon "ANGLE DE VUE" ce sont des petits coins de par chez moi qui alimentent mes clichés.

Cliquez sur son nom en rose ! Merci !

 

En cette fin janvier se termine la période des voeux pour la Nouvelle Année.

 

Je tiens à dire un grand merci à tous mes ami(e)s blogopotes pour leurs sympathiques souhaits ! Ce fut un grand plaisir que de lire vos gentillesses. Finalement Internet ne freine pas l'envoi de cartes par la Poste. C'est vrai que j'ai eu pas mal de voeux par mails avec des choix de présentations originales. Mais la carte papier, avec la pâte personnelle de l'écrit et la signature, reste un cadeau que je garde précieusement.

Voici, en partage avec vous, la première série de ces cartes, chacune avec son charme particulier.

 

 Mamylilou a mis en avant le rouge-gorge sachant mon faible pour ces petits oiseaux des jardins.

 

 

 Annick de Guyane m'a envoyée le charme de la forêt guyanaise et deux de ses hôtes en médaillon.

 

 

 Jacqueline de Rome a choisi le vert et la couronne blanche pour mettre en valeur ses sincères souhaits.

 

 

Tout un florilège de symboles de fêtes aux couleurs rouge, blanc et vert de circonstances pour les voeux de  Perfecta.

 

 

 Agathe, elle aussi amoureuse des oiseaux, s'est exprimée par l'intermédiaire d'un rouge-gorge les pattes dans la neige.

 

 

Un couple d'oiseaux, oeuvre originale de Bradley Jackson, comme envoyés spéciaux de  Nadia Vraie du Canada.

 

 

 Dany d'Italie est restée dans la pure tradition de Noël avec plein de présents dans sa hotte.

 

 

Pat, notre célèbre  Biker du 06, a joint un chant traditionnel  "Mon beau sapin" ainsi que la recette de la "Bûche de Noël" à sa jolie carte "Bonhomme de neige".

 

 

Autant de douces attentions de la part de chacun !

Encore un grand merci à vous !

Demain, une nouvelle série de cartes pour terminer ce mois de janvier !

Je vous attends aussi sur mon  "ANGLE DE VUE" !

Cliquez sur son nom en rose ! Merci !

 

Ce sera aujourd’hui la dernière balade dans le parc du château de Compiègne. Situé entre le château et la forêt, on l’appelle aussi le « Petit parc ». Conçu pour l’agrément des souverains et de leurs hôtes, ce parc connut malheureusement des épisodes dramatiques comme la résistance héroïque du major Othenin à une attaque prussienne pour la prise de Compiègne les 31 mars et 1^er avril 1814. Durant la Grande guerre, il eut à subir également des bombardements aériens allemands en 1915, endommageant la façade du château et détruisant l’un des pavillons de repos.

 

C’est lors du séjour de Napoléon 1er en mars 1810 que l’on décida de construire ces deux pavillons de repos. Seuls subsistent aujourd’hui les pavillons des quinconces nord et sud. Celui du nord a été reconstruit après le bombardement aérien allemand en 1915.

Les quinconces furent un lieu d’attraction privilégié au Second empire lors des fameuses « Séries » : manège de chevaux de bois, jeu de boules, jeu de siam au nord, jeu d’arc au sud. De 1898 à 1942, un kiosque à musique occupa le centre de la pelouse du quinconce sud.

J’ai pris le pavillon des quinconces nord en photo.

 

 

A proximité s’élançait la statue de Plautilla, un marbre qui est une adaptation moderne d’un modèle antique. Son entrée à Compiègne date probablement de la fin de 1859.

 

 

 

Puis, je me suis postée au centre de l’allée principale du « petit parc » tournant le dos à la fameuse allée des « Beaux-Monts » et regardant la façade du château. On mesure ainsi toute la dimension de ce vaste parc.

 

Un dernier regard vers la façade et ses massifs fleuris lors du retour vers la sortie.

 

 

Dans mon  « ANGLE DE VUE », aujourd’hui, plusieurs beautés florales rencontrées dans ce parc.

Cliquez sur son nom en rose pour aller les voir !

 

En avançant plus à l’intérieur de ce parc, on est frappé par la beauté et la majesté de certains grands arbres. D’ailleurs, la Ministère de la culture, en 2004,  a labellisé « Jardin remarquable » ce parc du château de Compiègne. La composition y est harmonieuse et originale. Les amoureux de la botanique, de l’histoire et de l’art peuvent apprécier la qualité des travaux paysagers qui qui y ont été effectués ces dernières années.

On peut y admirer un hêtre pourpre planté sous Napoléon III. Les connaisseurs s’attarderont auprès des orangers, des grenadiers. Un tulipier originaire de l’état de Virginie aux Etats-Unis saura, à l’automne, montrer son plus beau feuillage qui, de vert foncé, prendra petit à petit une belle teinte jaune-oranger.

J’en ai photographié quelques-uns.

 

 

 

 

 

 

Aujourd’hui, ce sont des roses blanches que j’ai prises dans ce parc.  Je vous montre quelques-unes sur mon

 « ANGLE DE VUE » , mon second blog.

Cliquez sur son nom en rose pour aller les découvrir !

 

Tout doucement nous allons pénétrer dans cet immense parc du château de Compiègne.Près de 700 ha entre le jardin et la forêt.

C’est un berceau de verdure qui nous accueille. On se sent à la fois entourée par la verdure et les fleurs ce qui provoque un bien-être profond.

En fait, cette tonnelle longue de 1 200 m et couverte de plantes grimpantes permettait à l'impératrice (Marie-Louise, puis Eugénie) de relier la forêt au palais sans s'exposer au soleil du jardin alors à découvert. À cette époque il faut garder le teint pâle. Près d’1,4 km de pur enchantement avec des massifs floraux qui s’échelonnent.

 

 

 

 

 

 

Demain, nous nous promènerons au milieu d’arbres remarquables, toujours au sein de ce parc.

Sur mon  « ANGLE DE VUE » (mon autre blog), aujourd’hui, quelques roses roses de ce parc prises au détour de ma balade selon mon inspiration.

 

Quittons l’esplanade pour se diriger vers le Jardin des Roses.

Au bout de la terrasse, le Jardin des Roses fut créé en 1820 par Louis-Martin Berthault (1771-1823). A cet emplacement existait auparavant le « Bosquet du Roi ».

Au centre de ce jardin, un petit bassin rond, situé initialement sur la Terrasse de la Reine, seul vestige des aménagements créés à l’époque par Ange-Jacques Gabriel et déplacé là au moment de la création du jardin.

Ce dernier a été restitué au cours des dernières années (à partir de 1985), d’après un relevé de 1821 accompagné des recherches historiques approfondies de manière à respecter l’esprit du créateur.

C’est un espace au style régulier. Autrefois, on y cultivait l’ananas.

Actuellement, ce sont surtout les roses qui dominent. Beaucoup d’espèces présentées proviennent de grandes familles de roses anciennes comme des roses de Damas, centifolia, gallica et noisettiana. Des plantes vivaces y ont été associées, pivoines, pavots d’Orient, iris, ce qui donne, pendant la période de floraison, des coloris très variés et un mélange d’odeurs qui ravissent les visiteurs.

Je vous laisse admirer, toutefois, pas mal de massifs commençaient à être défleuris en ce 23 juin.

 

 

 

 

Demain, nous descendrons ces escaliers pour pénétrer  sous le berceau de la Reine et aller plus avant dans les allées du parc.

 

Sur mon  « ANGLE DE VUE », un des premiers massifs fleuris rencontrés dans ce parc.

Cliquez sur son nom en rose !

 

Revenons à notre visite du château, palais impérial de Compiègne en s’attardant, cette fois-ci sur les jardins et le parc. Aujourd’hui, nous nous cantonnerons aux abords de l’esplanade.

Déjà une vue d’ensemble sur la façade donnant vers les jardins. Sur l’un des côtés, nous sommes sur la Terrasse de la Reine décorée d’arbres fruitiers comme des grenadiers ou des orangers. Plusieurs statues agrémentent cette esplanade bordée d’une balustrade.

 

 

 

 

 

 

A l’autre bout de ce terre-plein,

 

nous découvrirons, le Jardin des roses, serre tempérée. Ce sera pour le prochain chapître.

 

 

Sur mon  « ANGLE DE VUE », aujourd’hui, la célèbre statue d’

"Ulysse reconnu par son chien".

L’une des plus remarquables du Parc du château de Compiègne.

Cliquez sur le nom en rose pour aller la voir !