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    J'avais envie de revenir sur ce groupe musical "ELEPHANT" vu l'an dernier mi-novembre

    à la salle Louvroy à Neuilly-Saint-front (02).

     

    J'ai passé une soirée de rêve à les entendre.

    C'est un groupe Pop français composé de Lisa Wisznia et François Villevieille qui s'est formé en 2009.

    Lisa vient du théâtre et François est violoniste.

     

    Voilà ce qu'on en dit sur wikipedia:

    En janvier 2012, le duo publie un premier extended play Rien. Le groupe effectue plusieurs premières parties pour Patrick Bruel (Concert à Paris-Bercy le 22 juin 2013) , Benjamin Biolay ou Élie Semoun. Lisa Wisznia rencontre Biolay et lui passe le disque du groupe. Biolay émet alors l'hypothèse pour une première date en province. La première partie assurée est à Lyon lors du passage de Biolay au Transbordeur à Lyon. Wisnia connait Semoun après avoir participé à un DVD des Petites annonces. Semoun désire pour son spectacle une première partie musicale, le duo effectuera une semaine au Trianon à Paris.

    En juin 2012, le groupe participe à la première édition du Mathurin Live Contest de l'hôtel parisien Le Mathurin . Avec quatre autres groupes, il joue devant un jury de neuf professionnels. Désigné vainqueur, le duo bénéficie d'une bourse d'aide à la production d'une valeur de 5 000 euros. De plus, ce-même mois, le duo signe avec le label Columbia/Sony Music.

     

    J'ai tellement adoré tous ces morceaux !!!! Au point de me trémousser sur mon siège !!!! 

    S'en apercevant, et voyant mon intérêt pour la musique présentée, Lisa est venue me chercher pour danser avec elle à la fin du spectacle.Quel honneur, j'étais aux anges.

    D'autres spectateurs ont aussi été sollicités.

    J'essaie de mettre un morceau que j'adore ci-dessous.

    Cliquer sur le titre en jaune.

    Elephant

     

     

    Groupe musical "Elephant"

     

    BON MERCREDI !

     

     

     

     

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  • Voilà, 2012 est maintenant derrière nous !

    Une année difficile dans bien des domaines, et cela, sur tous les continents.

    Une année bissextile que je préfère voir derrière moi tellement le flot de violences quotidiennes annoncées dans les médias m’ont paru insoutenables.

     

    Pour beaucoup, cette saint Sylvestre sera l’occasion de souffler un peu, de s’évader en famille ou entre amis. Souvent la danse et la musique sont là pour rythmer la joie afin d’oublier la dureté de la vie.

     

    Alors, si vous êtes seul(e) devant votre écran, mettez le son et écoutez quelques airs entraînants ou plus doux que j’aime et qui peuvent vous « emporter » dans la fête quelques instants !

     

    Une idée qui m’est venue pour vous souhaiter

    UN BON REVEILLON !

     

    « Quand la musique est bonne » par Jean-Jacques Goldman.

     

     

     

     

    “Ella Ella” par France Gall

     

     

     

     

     

    Maintenant, un peu plus romantique:

     

    “J’ai demandé à la lune” par Indochine

     

     

     

     

     

    Et là, un moment de Bonheur sur un destrier.

     

    “J’aurais voulu” par Marc Lavoine

     

     

     

     

    BON REVEILLON

    A VOUS TOUS !

     

     

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  • Au « Manoir imaginaire », en ce samedi 22 septembre, c’était soirée « tango argentin » pour ce 12è « Petit Festival de Musique ». Chantal de Colombel et son association « L’Art d’entreprendre » avait invité « Cuarteto Silbando », un groupe très jeune et fort dynamique jouant du violon, bandonéon, contrebasse et piano.

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    Après un accueil des plus chaleureux autour d’un vin chaud, place à ces jeunes très doués et fort sympathiques ! Installée dans le fond de la salle pour mieux prendre des photos, (merci à Chantal), me voilà, en compagnie d’amies et d’une belle sœur qui ont préféré s’asseoir dans une mezzanine, à l’écoute de ces airs entraînants qui ont ravi tout le public.

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    Copie de la présentation du groupe accompagnant l’invitation :

    « Le Cuarteto Silbando est né en 2011 de la rencontre entre 4 jeunes musiciens de diverses nationalités, ayant pour projet commun de promouvoir la musique de bal et la tradition des grands maîtres du tango argentin.

    C’est avec fougue et caractère que le Cuarteto Silbando propose un répertoire de tangos, valses et milongas, dans des arrangements soigneusement travaillés afin d’obtenir un résultat musical professionnel, tout à fait adapté à la formule concert.

    Les styles de d’Arienzo, Troilo, Biagi, Salgan et Pugliese sont mis à l’honneur, entrecoupés d’arrangements plus personnels.

    Basé à Paris, le Cuarteto Silbando s’y produit régulièrement (résidence à la milonga Le Parloir depuis janvier 2011, Chalet du Lac de Saint-Mandé), ainsi que dans le reste de la France et à l'étranger (Toulouse, Caen, Limoges, Poitiers, Bonifacio, festival Tarbes en Tango, Italie, Pays-bas…). »  

     

    De suite la douce Clhoë Pfeiffer, au piano, mais aussi responsable des arrangements et de la direction, met l’auditoire à l’aise en proposant divers morceaux.

    Petite synthèse de ses prestations :

    « Née en 1985, Chloë Pfeiffer a commencé la musique à l’âge de 4 ans. Elle a étudié aux conservatoires de Tarbes et de Toulouse où elle a obtenu plusieurs prix. Ayant validé une licence de musicologie, elle étudie actuellement la fugue et la sonate au CNSM dans la classe de Thierry Escaich. C’est à 14 ans qu’elle monte son premier orchestre de tango et s’est produite dans de nombreux festivals et salles de concert. Elle entreprend l’été 2010 le projet ambitieux de fonder un orchestre typique à Paris. De cet orchestre est né le Cuarteto Silbando, un an plus tard. … Orchestratrice et arrangeuse, elle ne limite pas son intérêt au répertoire de tango argentin. Elle a notamment écrit des arrangements pour des musiciens de l’Orchestre du Capitole de Toulouse, pour Radio Classique et la maîtrise de Radio France, pour le choeur d’enfants toulousains "la Lauzetta" avec lequel elle a enregistré un disque de

    comptines, etc. »

     

    La voilà en pleine interprétation.

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    Mathias Naon, debout à l’autre bout de la scène,  nous apporte toute la douceur de son violon.

    « Né à Paris en 1988 de parents argentins, Mathias Naon débute à Cachan, puis poursuit sa formation au Conservatoire à Rayonnement Régional de Versailles, où il obtient les prix de violon et de musique de chambre. En tant que violoniste, il se produit principalement dans le répertoire du Tango. En 2005, il intègre le Gran Septeto La Academia, avec lequel il joue régulièrement en France et à l'étranger. Il participe à la fondation du Cuarteto et de la Orquesta Típica Silbando. Parallèlement à sa formation de violoniste, il entreprend l'étude de la direction d'orchestre. Depuis mars 2010, Mathias Naon est co-directeur du Sinfonia Pop Orchestra, orchestre de jeunes musiciens consacré à la musique de films. En février 2011, il prend la direction de l'orchestre symphonique « Musiques en Seine ».

     

    Place à sa gestuelle.

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    Presque effacé, au centre, coup de cœur pour Lisandre Donoso au bandonéon.

    « Né en 1990 de père chilien et de mère française, Lysandre Donoso commence à 6 ans son premier instrument, le violon, au Conservatoire de Lyon. Il entre l’année suivante dans la classe d’accordéon de Patricia Hivert jusqu’à son diplôme en 2009. Il se passionne alors pour le tango grâce au bandonéon hérité de son grand-père dont il va suivre l’enseignement de 2008 à 2011 avec Hervé Esquis. Il fonde son premier groupe “Nonino Quartet”. Décidant d’arrêter ses études d’ingénieur à l’INP de Grenoble, Il entre en 2011 dans le département Tango du Conservatoire Supérieur de Rotterdam (Codarts). Il ne se limite pas à l’univers du tango. Il accompagne depuis mars 2011 une oeuvre théâtrale, puis s’est aussi produit dans deux opéras. Il joue également dans le groupe de son père sur une musique inspirée du folklore latino-américain. »

     

    C’est assis qu’il interprète ses rythmes si particuliers au tango.

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    Grande stature, mais aussi grand talent, pour Lucas Eubel Frontini derrière sa contrebasse.

     

    « Lucas Eubel-Frontini est né en Argentine, fils d'une chanteuse de Jazz et d'un mélomane pianiste amateur. Ayant évolué dans un environnement musicalement éclectique, il commence à jouer de la basse électrique en tant qu'autodidacte, sur un instrument qu'il a lui-même fabriqué à l'âge de 15 ans. Quelques années plus tard, à 23 ans, il commence ses études de contrebasse. Il intègre l'année suivante la Orquesta Típica Imperial, avec laquelle il a effectué plusieurs tournées en Europe. C'est en 2006 que Lucas s'installe en France pour continuer ses études musicales au Conservatoire Régional de Toulouse. En même temps il suit le cycle supérieur de l'école Music'halle de musique contemporaine et de jazz à Toulouse. Actuellement Lucas est boursier au "Conservatoire de Musique et de Danse Trinity Laban" à Londres.

     

    Aussi habile de son archet que de ses mains, il égrène le tempo.

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    Grande ovation et rappel lors du final. Bravo à ce groupe très abordable et plein de gentillesse ! Leur site ICI.

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    Retour à la maison pour nous. Mais repas ensuite pour ceux qui s’étaient inscrits et prolongation de la soirée par une milonga (bal de tango). Inutile de dire que plusieurs passionnés, qui ont suivi pour certains des cours de danse en Argentine, s’en sont donné à cœur joie dans de langoureux entre-jambes, pendant une grande partie de la nuit.

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    Qui a dit qu’il ne se passait rien dans notre campagne profonde !!!!

     

     

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  •   « TRAM DES BALKANS » fut le dernier groupe musical à paraître lors de ce XVè Festival du Patrimoine Vivant à Château-Thierry en septembre 2010. En fin d’après-midi du dimanche, juste avant mon départ, les musiciens ont commencé à s’installer. Le concert devait débuter vers 18h30 pour se terminer à 20h00. J’ai pu assister au tout début de leur prestation.

    Là aussi, la joie communicative était au rendez-vous. Plaisir d’être sur scène pour les chanteurs et plaisir des danseurs au pied de la scène. Cinq musiciens : Vincent WESTPHAL, Diego MEYMARIAN, Vincent GAFFET, Sylvain LACOMBE et Mathieu CERVERA. Un répertoire d’Europe centrale et de l’Est mais aussi du ska, du free-jazz et des sons venus d’Irlande. Les spectateurs qui ont eu la chance de rester jusqu’au bout ont pu entendre des chants en rom, russe, hébreu, tchèque, dialecte de Tush Tush, …

     

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    Je devais rentrer, mais maintenant, je regrette un peu de n’être pas restée. Sur le peu de musique que j’ai entendue, je me suis mise à danser (plutôt bouger) sur place tellement j’aime ce genre de sons et de chants. Pas facile la danse avec mes deux APN en bandoulière !

     

    Pub au passage pour EURAPHIS, le réseau transfrontalier d’Animation du Patrimoine qui a apporté son soutien financier à ce programme. Dans son stand, j’ai d’ailleurs rencontré l’une des dirigeantes. Elle avait un autre job avant. C’était une ancienne bénévole de la bibliothèque de Crouttes-sur-Marne avec qui j’avais sympathisé lors de formations avec la Bibliothèque Centrale de Prêt de l’Aisne. Un bon moment de retrouvailles.

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    On peut voter sur WIKIO.


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    Mon « ANGLE DE VUE » pour d’autres clichés !

    Cliquez sur son nom en rose !

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  • Au Parc saint Joseph à Château-Thierry, un grand espace était réservé pour les groupes musicaux en concert.  Comme l’arrivée des Vikings sur leur drakkar au fil de la Marne était l’attraction centrale de ce XVè Festival du Patrimoine Vivant, la part belle était faite aux groupes celtiques, occitans et wallons. Je n’ai pas pu me rendre à tous les concerts.

    En ce milieu d’après-midi du dimanche 19 septembre, « LE COMITE » est monté sur scène. Troubadours des temps modernes, ces Auvergnats ont charmé le public de leurs voix claires et puissantes. Des textes drôles donnant beaucoup de chaleur humaine.

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    Pas étonnant que des couples et même des farandoles de danseurs se soient mis à danser spontanément. Du rythme au rendez-vous, le bon ingrédient pour penser « fête ».

    Quelques clichés de ces musiciens : Mendi BORAGNO, François BLANC, Jean-Marc MONCHALIN, Laurent CAVALIE, Armand CHEZE, François BREUGNOT et Cyril  ROCHE. Ils n’étaient pas tous présents. J’ai pris leur nom sur leur site Internet.

     

    Je n’étais pas la seule à photographier. Les pros du petit écran étaient là !

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    Un coup d’œil sur le drakkar DREKNOR amarré en bord de Marne. Des balades avec équipage étaient organisées sur ce bateau de guerre long de 25m. Une réplique du karv de Gokstad (Norvège) datant de 850.

     

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    On peut voter sur WIKIO.

     


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    Toujours de la macro photo sur mon autre blog

    « ANGLE DE VUE ».

    Cliquez sur son nom en rose.

     

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  • Complètement scotchée dans mon fauteuil en ce soir du 28 décembre dernier ! Je zappe sur Canal + vers 23h 15 et là, agréable surprise :

    VANESSA PARADIS en concert acoustique !!!!

    A la chevelure longue et bouclée d’un blond profond tirant sur le roux, Vanessa, moulée dans un jean beige chamois surmonté d’un joli  bustier gris joliment décoré de fines perles qui lui va à ravir, chante dans un décor fastueux. Faut dire qu’elle est sur les planches du somptueux Opéra royal du château de Versailles.

    Le parterre et les loges sont combles.

    Canal + nous diffuse là le film réalisé par François Goetghebeur qui revient sur l’essentiel de ce concert ayant eu lieu les 11 et 12 juillet 2010. Un premier concert avait déjà eu lieu le 22 novembre 2009 à La Cigale. D’autres suivirent pendant l’été 2010.

    Les plus grandes chansons de Vanessa,  de « Joe le taxi » à « Il y a », étaient revisitées en version acoustique avec huit musiciens dont un quatuor à cordes.

     

    Quel enchantement ! Une voix douce, suave, en parfait accord avec la musique. Beaucoup de grâce dans les mouvements, allant jusqu’à la sensualité face au public ou auprès des  musiciens. Tout était harmonieusement réglé : de la teinte des projecteurs couleur solaire au cadrage des caméras passant de plans larges à des plans rapprochés sur les visages, les doigts des musiciens, …

    Vanessa s’est mise à jouer plusieurs fois de la guitare, de claviers divers. Là encore, j’ai été sidérée par sa dextérité dans ce domaine.

    La musique acoustique a ce charme de nous faire entendre des instruments peu connus comme la guimbarde, la mandolinette, le vibratone, le waterphone, la flûte à bec et bien d’autres objets divers comme la casserole. Rien que ces sons nous transportaient dans un monde alliant la douceur et le rythme. Le temps ne comptait plus et le public, sous le charme, participait. Vanessa le sentait, se « donnait » de plus en plus et, grâce à  sa grande générosité, elle  n’a pas eu beaucoup de mal à faire chanter les spectateurs en leur disant :

    « Vas-y Versailles, chante " ! »

     

    Tout en dernier, Vanessa est revenue sue scène avec une robe légère en voile. Avec des déhanchements et des mouvements de jupe de danseuse tzigane, elle a offert au public une explosion de sensualité qui faisait qu’on n’aurait souhaité que jamais cela ne s’arrête (fin du spectacle à 0h 35 ce soir-là).

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    J’aime danser alors, je vous ai programmé la chanson que j’ai préférée en vous invitant à danser avec moi ou alors en vous invitant à suivre les paroles.

    Il s’agit de « IL Y A » (Gaëtan Roussel) Editions Gazoline. Renseignements pris sur le CD que je me suis empressée d’acheter.  

     

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    IL Y A

    Il y a là  la peinture, les oiseaux, l'envergure, qui luttent contre le vent
    Il y a là  les bordures, les distances, ton allure, quand tu marches juste devant

    Il y a là  les fissures, fermées les serrures, comme envolés les cerfs-volants
    Il y a là  la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement
    Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi
    Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas
    Il y a là  là  là , si l'on prenait le temps, si l'on prenait le temps
    Il y a là  la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement
    Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi
    Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas

    Il y a là  les mystères, le silence sous la mer qui luttent contre le temps
    Il y a là  les bordures, les distances, ton allure, quand tu marches juste devant
    Il y a là  les murmures, un soupir, l'aventure, comme emmélés les cerfs-volants
    Il y a là  la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement
    Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi
    Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas
    Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi
    Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas

    Paroles Il Y A - Vanessa Paradis

     

    Précisions: De Vanessa Paradis, je ne connaissais véritablement que "Joe le taxi".

    Là, ce qui m'a plu et a fait que je suis restée jusqu'au bout de la diffusion, c'est tout d'abord la prestance de Vanessa aussi bien dans le placement de sa voix que dans sa gestuelle, et aussi la prestation des huit musiciens d'une qualité exceptionnelle. J'ai trouvé Vanessa, grande professionnelle sous un jour inconnu de moi, loin des lolitas que l'on voit en ce moment. Une grande générosité se dégageait de sa part et le public ne s'y est pas trompé.

    J'ai passé une soirée magnifique.

    (Texte rajouté suite à certains commentaires)

    Je n'ai pu donner mon appréciation qu'après avoir "VU" et "ENTENDU" ce concert acoustique !!!!

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  • En ce vendredi soir 25 juin 2010, Yves Duteil était à l’honneur à Château-Thierry. Les organisateurs des 50èmes Fêtes Jean de La Fontaine ont profité de sa toute nouvelle tournée pour l’inviter à donner un concert dans la cour de l’Hôtel-Dieu.

    Après son dernier album « (fr)agiles », c’est un spectacle tout en acoustique que l’artiste propose. Aux sons de la guitare, de la basse et du piano, un grand moment de partage et d’amitié avec le public. Bien sûr sa célèbre chanson « Prendre un enfant par la main » (classée meilleure chanson française de XXè siècle en 1987) a encore et toujours enthousiasmé les spectateurs mais l’échange se fit aussi autour de sujets sur l’engagement et la citoyenneté. Du gentil troubadour de ses débuts, voilà qu’Yves Duteil évolue  et progresse vers un changement plus radical. Le fait d’être devenu le producteur de ses chansons lui permet d’écrire au rythme de ses envies.

    Le chanteur revient du Canada et bientôt, ce sont le Japon, la Belgique, la Nouvelle Calédonie qui l’attendent. Toutefois Yves Duteil garde bien les pieds sur terre et son implantation en tant que maire de la petite commune de Précy-sur-Marne (77) lui permet d’être toujours ancré dans le réel.

    Avec ses musiciens, Gilles Bioteau à la contre-basse, Angelo Zurzolo au piano, on a ressenti tout au long de la soirée,  une réelle complicité où gestes et mots d’humour ont donné beaucoup de fluidité au spectacle. La musique travaillée avec précision donne un réel plaisir à entendre les mélodies et l’écoute a été grandissante au sein des spectateurs.

    Le jeu du « téléphone arabe » avec le public et le petit « coup de chapeau » à Jean de La Fontaine qui nous honorait de sa présence !!!!

    « Que du bonheur, de la belle chanson française » ai-je entendu dire autour de moi à l’issue du spectacle. Pour moi, grand moment d’évasion au sein de la poésie qui m’a permis de rêver et pourquoi pas de croire à un monde meilleur.

     

    Quelques clichés que je partage avec vous.

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    SITELLE avec mon autre site « Angle de vue » purement photos vous attend !

    Cliquez sur son nom en blanc !

     

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