• Pas évidente à prendre en photo au milieu de ces tiges aussi vertes que son corps.

     

     

     

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  • Revenons à quelques macros d'insectes. Ce criquet s'entraîne pour les jeux olympiques de 2016.

     

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  • Cette fleur jaune en début d'éclosion rencontrée au cours de l'une de mes balades pour vous souhaiter

    UN BON 15 AOÛT !

     

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  • Revenons à Conques avec un tour d'horizon de L'Abbatiale Sainte Foy.

     

    L'abbatiale Sainte-Foy, incontestable chef-d'oeuvre de l'art roman, est l'oeuvre des moines de Conques qui avaient acquis une solide réputation de bâtisseurs. Elle est le type parfait des églises dites des routes du pèlerinage.

     

    L'abbaye de Conques se développa surtout à partir de l'arrivée des reliques de Sainte Foy, jeune martyre d'Agen au cinquième siècle.

     

    La construction de l'abbatiale actuelle commença vers 1030 pour se terminer vers 1107.



    La nef est très haute (22,10 m) mais étroite (6,80 m).

     

    De grandes arcades font communiquer la nef et les bas-côtés.

     

    Les collatéraux, voûtés d'arêtes séparées par des doubleaux, sont éclairés par de grandes fenêtres.

     

    La croisée du transept : quatre piliers soutiennent le tambour octogonal de la coupole sur trompes, remplacée par une voûte gothique au 15è après qu'elle se soit effondrée.  

     

    Sur la façade occidentale de l'édifice, un tympan (début du XIIème siècle) avec ses 124 personnages, encore en partie polychromés, reprend le thème du Jugement dernier.

    La composition générale est d'une grande simplicité : le vaste demi cercle du tympan comprend trois registres superposés que séparent les bandeaux réservés aux inscriptions gravées. Pour meubler ces registres, l'artiste les a divisés en une série de compartiments correspondant aux panneaux de calcaire jaune - au nombre d'une vingtaine - qu'il avait sculptés au sol avant de les assembler comme un puzzle géant. Ce découpage, facile à discerner a été réalisé habilement et de telle façon qu'un joint ne vienne jamais recouper un personnage ou une scène. La source principale d'inspiration du Jugement dernier a été l'Evangile de Saint-Matthieu.



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  • Continuons plus avant notre visite à l'intérieur de cette cathédrale.

    En cette deuxième partie, les orgues, l'autel, ...

    La cathédrale abrite un superbe buffet renaissance d'un équilibre parfait, s'inscrivant dans l'arc du transept nord. Cet orgue a été construit en 1629 par Antoine Vernholes, de Poitiers, avec le concours de Raymond Gusmond, maître sculpteur de Périgueux.

    Vernholes a réemployé des parties de boiseries d'un orgue plus ancien, gothique, sur les côtés et à l'arrière. L'ensemble de la tribune et du buffet a 63 pieds de haut et 32 pieds de large, le tout en noyer poli. En partie haute, des anges et des armoiries étaient rehaussées de couleurs vives.

    Après diverses restaurations puis l'abandon pendant la Révolution, il rendra l'âme en 1970.


     Enfin, en 1975 Paul Manuel démonte entièrement l'orgue et reclasse la tuyauterie, avant que la maison Maison J.G. et Y. Koenig ne le restaure entièrement en1986, de manière à retrouver une conception sonore dans l'esprit des Anciens pour obtenir les qualités de toucher et les sonorités adéquates au répertoire français des XIIè et XIIIè siècles, tout en permettant une utilisation plus large de l'instrument par ses étendues.

     

     La table d'autel en marbre, exécutée à Narbonne ou mieux, à St Pons de Tomières, reposait sur 4 colonnettes surmontées de chapiteaux (musée Fenaille de Rodez). Devant, un fragment de bas-relief représentant le Christ tenant le monde entre ses doigts. Le nom de Deusdedit sur la table de marbre affirme bien l'existence de cet évêque (Xe s) qui a ordonnancé le sanctuaire avec 4 autels comme il est mentionné plus haut.

    Ci-dessous, d'autres vues intéressantes de l'intérieur

    Une vue du transept

    Remarquables peintures au-dessus d'un autel des bas-côtés
    Sous la nef centrale
    Au-dessus d'un autel,

    un tableau de maître !

    Mon second blog "ANGLE DE VUE"

     


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  • Pour vous souhaiter un bon dimanche !

     

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  • De remarquables réalisations !

    Tout d'abord, en ce premier article sur l'intérieur, nous allons axer notre regard sur les sarcophages puis sur les vitraux et notamment ceux de Stéphane Belzère.


    Les 2 sarcophages dits de St Dalmas Amans et de St Naamas. Ils sont encore dans la cathédrale actuelle, de chaque côté du chœur des chanoines. Celui de St Amans étant " brisé en plusieurs endroits " n'est pas exposé.


    Le plus beau des deux autres serait le sarcophage de St Dalmas. Il est sculpté sur trois faces. La face antérieure présente 9 niches séparées par des colonnes torses et surmontées par un petit cintre brisé ou par un fronton triangulaire. Dans la niche du milieu apparaît le Christ ressuscité, la main bénissant.


    Le second sarcophage serait celui de St Naamas. Ces sarcophages en marbre blanc, proviendraient, comme la table d'autel et le bénitier d'Onet qui devait se trouver (2 chapiteaux) dans la cathédrale carolingienne, de carrières de marbres d'Aquitaine qui ont été exploitées jusqu'au huitième siècle.

    Ci-dessous, quelques vitraux  que j'ai aimés:


    7 nouveaux vitraux

    En 2002 eut lieu un concours pour la conception des sept verrières du chœur. À l'issue de ce concours, Stéphane Belzère a été choisi parmi 44 candidats. La réalisation s'est échelonnée de 2004 à 2007.
     

    Cet ouvrage retrace les étapes de la création. Son créateur a tenté de formuler dans un langage contemporain l'image de Dieu et de la sainteté.  L'idée proposée par l'artiste est celle du flux de la lumière et de la vie qui vient irriguer l'ensemble des chapelles, introduire une dynamique et une fluidité symbolisant la vie et son perpétuel renouvellement.

    Au milieu, j'ai grossi le vitrail de gauche; vous constaterez que le style est très contemporain.
    Lundi, on continue la visite de l'intérieur avec les orgues, l'autel, ...

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