Emprisonnée

Poussée vers l'avant,
Poussée hors du clan,
C'était trop poignant.

Volonté délibérée
De m'exclure,
A cause d'une déchirure.

Véritable déchirure,
Blessure,
Ou fin d'une aventure
Voulue et désirée.

Réaction instantanée,
Mal préparée,
Par mes propos trop vite rédigés,
Me voilà emprisonnée.

Par mon "égo" démesuré,
Me voilà emprisonnée.

L'autre appréhander,
S'en approcher,
Au risque de se brûler;
S'en éloigner
Au risque de sombrer.

Sensation d'amertume, 
D'une écume
Noyée dans la brume.

Pouvoir s'exprimer
M'est ôté.
Tel sur un animal blessé, 
Le piège s'est refermé.

De cette prison
Viendra-t-on me libérer?
Les préjugés
Mis de côté?

Les premiers pas
De l'autre
Pour une fois !!!!


Monique GUAY

Plus de 200 personnes assises sur le parvis de l’église de CHEZY-EN-ORXOIS (02) hier soir 27 juillet. Bel accueil de la Mairie et de l’Association des Archers du village qui avaient organisé un stand de rafraîchissement pour les visiteurs. 
La Compagnie du MILLEMPART y donnait une représentation. Sous l’égide de l’UCCSA (Union des Communautés de Communes du Sud de l’Aisne) et avec le soutien du Conseil Général de l’Aisne et du Conseil Régional de Picardie, le festival « MUSIQUE EN OMOIS » s’est installé de fin juin à fin juillet au Pays du Sud de l’Aisne. 

             
                                                                                                                De musique en patrimoine, 6 rencontres en chansons pour « écouter, regarder et sourire » et se détendre sous l’empreinte de l’émotion. 
A Chézy-en-Orxois, dans son 


spectacle-chanson, 
 

"LA RUE SAINT VINCENT », la compagnie a revisité le répertoire des classiques de la chanson française. La voix de Karine Zélia nous emporte dans un voyage au travers des années 30 à 50. 



Cette histoire de la Rue Saint Vincent en chansons, était illustrée par intermittence par des images projetées sur un écran. Contraste entre la bonne humeur, la « vie en rose » et les airs de fête de l’insouciance d’avant-guerre et les « bruits de bottes » entendus outre-Rhin. 



Dans l’esprit du cabaret, des « roses blanches » au « légionnaire », les spectateurs n’ont pas été sans fredonner ces airs qu’on n’oublie pas.

 



Et, sur le refrain « COMME DE BIEN ENTENDU » chanté par l’assistance, gageons que cette initiative au cœur de nos villages a eu un « bon écho » et sera renouvelé comme mise en valeur du développement de notre patrimoine.

Pour les couche-tard,

Joe COCKER
dans 
"Unchain my heart" (1987)

Chanteur de rock anglais et de blues.

Dans la fraîcheur du matin

A Cheverny