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Par Alrisha le 28 Janvier 2020 à 00:02
A St Lucia, après notre petite croisière en bateau sur l'estuaire face à l'Océan indien, en Afrique du Sud,
nous sommes allées dans un restaurant, l' "Ocean Basket" pour un repas fort copieux, même gastronomique.
Je m'étais acheté une casquette "gavroche" pour partir en Afrique du Sud. C'était l'occasion de la mettre.
En 4x4, trop de vent et risque de la perdre dans le bush: je ne l'avais pas mise.
Le plat présenté est pour deux: vraiment copieux et succulent.
Notre groupe de sept femmes a bien aimé ce bon moment de partage.
BON MARDI !
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Par Alrisha le 22 Janvier 2020 à 00:02
DEUX PHOTOS. Lors d'une sortie safari en 4x4 dans la réserve de Thula Thula, en Afrique du Sud,
nous sommes passés dans des endroits fort boueux. A un moment donné, Victor, notre guide n'a pu s'extraire d'une zone fort humide. Il a fallu qu'on descendent toutes les huit dans le bush.
Ordre était donné de ne pas trop s'éloigner car des serpents ou n'importe quel autre animal sauvage pouvait apparaître. Nous n'étions pas du tout rassurées.
Victor, notre chauffeur-guide, a dû s'y reprendre en plusieurs fois pour dégager les roues.
Il a fallu se mettre sur le côté et plus loin pour lui laisser la place de s'élancer et arriver sur du terrain plus dur.
Ouf, nous avons pu remonter toutes les neuf femmes !
C'était risqué d'être en plein bush ! En effet, environ 100 m plus loin, Thabo le rhinocéros est apparu venant des buissons d'acacia sur le côté.
Enfin, maintenant, ça fait partie des émotions ressenties lors de nos safaris !!!!
BON MERCREDI !
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Par Alrisha le 5 Juin 2014 à 00:00
Regards sur ma randonnée en Baie d'Authie lors du Festival de l'Oiseau et de la Nature 2014. C'était le 24 avril dernier en après-midi avec Philippe DAIGNY comme guide.
Le départ se faisait à proximité de GROFFLIERS dans le Pas-de-Calais. Nous étions une petite dizaine pour parcourir environ 6 km de cet estuaire de l'Authie.
Nous avons cheminé sur des espaces différents, comme des dunes, plages, vasières, prés salés ou prairies.
Bien sûr, c'était marée basse: premier contact.
En chemin sur la bordure.
Au loin, on aperçoit les premières dunes.
Quelques vasières,
et le sable.
Pas facile d'y marcher.
De là-haut, on aperçoit la plage au loin.
On est resté un bon moment sur ces dunes, histoire de soulager un peu nos pieds car la marche commençait à nous fatiguer.
Au loin et à nos pieds, l'immense étendue de plage.
Notre guide (l'homme au chapeau) en pleine explications. Il faut dire qu'au passage, il nous a présenté toutes sortes de plantes et petits mollusques rencontrés. Un échantillon sous forme de cartes postales, en fin d'article.
Autre paysage rencontré et traversé: ces hautes herbes qui retiennent le sable.
Des flaques d'eau apparaissent de temps en temps. Il vaut mieux les éviter.
Au loin on devine Berck-sur-Mer.
Très difficile de marcher sur cette portion de plage encore humide.
Les chaussures ou plutôt nos bottes s'enfoncent et c'est vraiment désagréable de devoir s'extirper à chaque pas.
Regards sur l'étendue immense au large.
La mer est au loin, à perte de vue.
Des promeneurs se profilent pour approcher les phoques bien trop éloignés de nous, malheureusement.
Des rigoles que l'on contournera.
Une immense étendue de prés salés.
On parcourt en fin de trajet des prairies assez fournies en herbes.
Inutile de vous dire que la fatigue commençait à se faire sentir pour moi. Je n'ai pas l'habitude des randonnées. Toutefois, et fort heureusement, plus de douleurs d'hallux valgus comme l'an dernier !! L'opération de mon gros orteil droit à porté ses fruits.
Pas la même chance pour mon amie Odile qui a dû rester à l'hôtel, souffrant de grosses crises de rhumatismes articulaires.
La chance de rencontrer de jolies fleurs parmi ces herbes. Je ne me souviens plus de leur nom.
Retour en contournant des vasières ou en passant dedans en faisant bien attention de ne pas glisser.
Une partie du groupe est allé voir de plus près des cabanes de chasseurs de canards. Moi, j'ai préféré rentrer au parking accompagnée par la femme du guide. Je commençais à ressentir une grosse fatigue et il fallait que je rentre en voiture avec près d'une heure de route.
Voici les quelques plantes et crustacés ou mollusques rencontrés.
Par contre, je n'ai pris aucune note et ne peux plus vous renseigner sur leurs noms.
J'avais mes 2 lourds APN en bandoulière et ce n'est pas facile de prendre des notes.
Au retour de tout le groupe, nous avons dégusté des pâtisseries préparées par madame DAIGNY et surtout bu une boisson faite avec des fleurs de pissenlit succulente comme tout.
Merci encore au couple DAIGNY pour leur excellent accueil ! Dans le groupe des gens venant de Belgique, de l'Oise, de la région parisienne et même une jeune venant de Rouen travaillant dans un grand groupe pharmaceutique.
J'espère que vous avez pris plaisir à parcourir cette Baie d'Authie à mes côtés !!!!
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Par Alrisha le 28 Novembre 2013 à 00:00
Nous y sommes arrivés le soir de ce dimanche 4 août dernier vers 19h15.
Quelques regards sur l'atmosphère paisible de ce petit port du Tréhiguier faisant partie de Pénestin.
Quelques petites embarcations au loin.
Nous sommes à marée basse.
Regard vers le quai où l'on distingue une grosse foule. Je vous dirai pourquoi dans un instant.
Au premier plan, cette petite barque paraît bien rouillée.
Au loin on aperçoit quelques balles de paille dans les champs. La moisson semble trminée.
Pourquoi être arrivés si tard ? Et bien, pour manger des moules-frites à la grande fête de l'été organisée sur la place. Mais, un monde fou déjà attablé devant l'attraction du jour avec des choppes de bière. Plus de places ! Une queue interminable pour arriver à passer commande. Un grand orchestre prenait place sur scène.
Impossible de rester à piétiner ainsi alors que les petits-enfants Geoffrey et Clarisse commençaient à s'impatienter !
Alors tours de manège pour eux, puis direction centre ville pour un petit restau, lui aussi pris d'assaut.
Enfin, ce sont les joies des vacances d'été !!!!
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Par Alrisha le 25 Novembre 2012 à 00:00
Hier, dans mon article, nous arrivions à la large porte et aujourd’hui, nous voilà au-delà, au centre de la cour.
Cette cour est un heptagone irrégulier flanqué de sept tours circulaires aujourd'hui en ruines. Claire Debout, notre guide de l’Office de tourisme de Fère-en-Tardenois nous montre le plan d’ensemble de ces tours.
La porte du pont galerie ressemble à un arc de triomphe avec colonnes, niches et fronton.
Les trophées d’armes qui l’ornaient ont été mutilés.
On attribue l’écu de Montmorency sur la pile centrale du pont à Jean Goujon mais sans certitude.
L’état de ruine du château et de son pont galerie résulte d’un dépeçage systématique antérieur à la Révolution, dont le responsable est le dernier propriétaire d’ancien régime, Philippe Egalité. Il crut pouvoir tirer profit de ce château mal entretenu en en vendant les matériaux aux démolisseurs pour 16 400 livres en 1779.
Le domaine de chasse de près de 250 hectares appartenant autrefois au château est aujourd'hui propriété de l'état et constitue l'actuelle forêt de Fère-en-Tardenois.
Le dernier propriétaire du château, Raymond de la Tramerie, enterré à proximité des ruines, en fit don au conseil général de l'Aisne.
Le charme de ces ruines ainsi que la beauté des lieux font qu'un hôtel de luxe est installé dans des bâtiments d'époque à proximité du château.
Ce château est inscrit au patrimoine historique depuis 1843. Il a subi des travaux en 2001/2002 et est toujours en cours de restauration.
Un dernier regard sur ce magnifique monument que je n’avais encore jamais pris le temps d’aller visiter. Un véritable moment de bonheur pour une photographe à la recherche de jolis paysages !
Un petit tour chez SITELLE, mon deuxième blog !!!!
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Par Alrisha le 24 Novembre 2012 à 00:00
A voir ou à revoir pour certains !
En cette fin d’après-midi du 3 avril 2010, j’avais décidé d’aller suivre la visite du château de Fère-en-Tardenois proposée par l’Office de Tourisme. C’est environ à une quarantaine de km de chez moi. Le temps était assez couvert et nous avons même essuyé quelques gouttes de pluie à notre arrivée au rendez-vous sur le parking. Mais, fort heureusement, le ciel s’est petit à petit dégagé comme « c’est souvent le cas en Picardie » nous a gentiment fait remarquer Claire, notre guide de l'Office de Tourisme de Fère. De plus, c’est connu, « Claire écarte les nuages et la pluie pour un ciel clair ».
Nous voilà en pleine forêt ! Robert de France, comte de Dreux, frère de Louis VII, devient acquéreur du domaine de Fère-en-Tardenois dans la seconde moitié du XII è siècle. Par sa lignée, il appartint à la première maison Valois-Orléans, Valois-Angoulême. Dès le début du XIIIè siècle, les comtes de Dreux font construire un château fort avec sept tours médiévales avec chambres de tir circulaires et voûtées.
En1528, La mère de François 1er l'offrit au connétable Anne de Montmorency pour son mariage. Celui-ci le fit transformer. Logis, galeries, cuisine, façades ordonnancées de pilastres vont voir le jour.
Des chambres d’agrément de plan carré plus commodes pour le mobilier prennent place dans les anciennes tours.
Il fit construire en particulier, entre 1555 et 1560, son grand pont couvert, attribué à l'architecte Jean Bullant.
Ce pont galerie comportait deux étages : le premier servait de passage tandis que l'étage supérieur était une salle consacrée au jeu et à la vie mondaine.
Sur les archères apparaissent des fenêtres. L’une des tours deviendra chapelle.
Vers l’entrée, se dresse une travée de fenêtres à meneaux
superposée au-dessus d’une porte rhabillée à l’antique entre 2 colonnes corinthiennes et millésimée 1539.
Le célèbre pont monumental franchissant l’énorme fossé ou douves aujourd’hui à sec, vint en remplacement d’un autre, ce qui donnait à ce château la belle envergure des châteaux renaissance.
Le rez-de-chaussée n’était ouvert qu’aux piétons. Les chevaux et les équipages restaient dans la vaste basse-cour. Toutefois, cette galerie n’avait pas d’accès direct avec les salles et les chambres.
Il y avait deux escaliers, soit pour entrer soit pour sortir du château.
Une large porte entourée de deux tourelles ouvre sur la cour.
Nous poursuivrons demain plus avant dans notre visite.
Mon autre blog: SITELLE
(Cliquer sur son nom)
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Par Alrisha le 22 Novembre 2012 à 00:00
Il y avait longtemps que je voulais visiter ce quartier d'affaires à l'allure si particulière. En effet, à la Défense, c'est une « histoire de lignes » que les architectes ont voulu nous confier.
Celles qui grimpent à la verticale à n'en plus finir, telles ces deux jambes d'échassier baignant dans l'eau.
Ou cet abri-toupie tel un champignon accroché à son arbre.
Sur une plage de béton, les cannelures d'un coquillage géant.
En guise de tente, s'éveiller sous une toile auréolée.
D'un regard fouetter le ciel pour dissoudre les nuages.
Je fus comblée par cette magie des lignes.
Cet article à voir ou à revoir pour certains d'entre vous, car je suis trop occupée en ce moment pour pouvoir créer des articles nouveaux.
Merci de votre compréhension et de vos passages !
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