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Par Alrisha le 17 Octobre 2007 à 21:43CHRISTINE BRISSET LE MAUVE : typographeNotre bibliothèque « Lire à Brumetz » fait partie du réseau de la BIBLIOTHEQUE DEPARTEMENTALE DE L’AISNE basée à Soissons. C’est dans ce cadre que j’ai participé à une journée de formation en « ATELIER D’ECRITURE ET DE TYPOGRAPHIE » avec Christine Brisset Le Mauve, typographe et éditrice, au 7 route d’Hameret à AIZY-JOUY (02370).Nous étions une petite dizaine de stagiaires et Christine nous a reçus dans ses locaux toute une journée avec une grande gentillesse et une décontraction remarquable. C’est dans une ambiance bohême qu’elle nous a transmis un peu de sa passion. Mains dans la pâte à papier, puis les mains au contact de l’encre, elle nous expliquait la marche à suivre, toujours le sourire aux lèvres et avec quelques mots amusants au passage, mettant tout le monde à l’aise dès les premiers instants.Après le repas de midi, (chacun ayant apporté son sandwich), elle nous a offert un dessert que je n’oublierai jamais. Des pâtisseries algériennes qu’elles avaient rapportées de chez un pâtissier d’Asnières (92) qu’elle connaît particulièrement ; un vrai délice ! Il faut dire que je n’avais jamais mangé de desserts Nord Africains. Des « cornes de gazelle » délicieuses ! Encore merci Christine !Voici mon reportage sur :la TYPOGRAPHIE ou l’ART d’imprimer des textes à l’aide de caractères mobiles en plomb.FABRICATION DE PAPIER AVEC DE LA PÂTE A PAPIER
- 1.) Arrachage de journaux en petites lamelles. Il faut du papier non encollé ; le papier glacé ne convient pas.
- 2.) On verse de l’eau chaude.
- 3.) Christine mélange le tout.
- 4.) Elle finit au mixeur.
- 5.) On plonge le cadre grillagé dans la badrée.
- 6.) On laisse égoutter.
- 7.) On place un chiffon toilé sur le bois de la presse.
- 8.) On verse doucement le contenu du cadre.
- 9.) On éponge le trop plein d’eau.
- 10.) On enlève le cadre.
- 11.) La première feuille en pâte à papier est réalisée.
- 12.) On pose un nouveau chiffon et on recommence.
Chaque stagiaire (dont moi-même) a,
ainsi, réalisé plusieurs feuilles. Près d’une quarantaine de feuilles en tout ; on ne pouvait pas plus, le tas commençant à trop se bomber.PRESSAGE ET SECHAGE· A- On place la presse au sol.· B- On commence à serrer toutes les feuilles pour évacuer tout le restant d’eau. On laisse en place une bonne heure.· C- Puis, chaque feuille est séparée.· D- On fait sécher chaque feuille sur la toiture d’un petit bâtiment (ancien clapier).
CONFECTION DE PETITS LIVRES- I- Fabrication de livrets et découpage aux bonnes dimensions.
- II- La plieuse forme le dos de la couverture.
- III- Chacun plie les pages pour former l’intérieur des livrets.
- IV- La couseuse peut coudre des fascicules de 48 pages au maximum.
- V- Livrets cousus?
- VI- Utilisation de pinceau et de colle pour le brochage.
- VII- Confection définitive du livret.
Chacun est reparti avec un petit livret vierge en cadeau ; pour écrire nos petits secrets, peut-être !
COMPOSITION DE PETITS TEXTES- E1- Voici le tableau présentant l’emplacement de chaque lettre et chiffre ou signe de ponctuation dans la casse.
- E2- Une des nombreuses casses avec des caractères en plomb que possède Christine Brisset Le Mauve.
- E3- Chacun va composer manuellement son texte en le mettant en forme sur une « pierre ». On prend chaque lettre (en relief et à l’envers, bien sûr) en se basant sur le tableau et on les dispose côte à côte, sans oublier les espaces entre les mots qui sont des morceaux spéciaux moins hauts que les lettres. (je ne me souviens plus de leur nom).
- E4- Les premières « pierres » sont prêtes.
- E5- Voici l’une des « pierres » placée dans la presse à épreuves. Ce jeu d’épreuve forme ce que l’on appelle « la maquette ».
- E6- Bien sûr, le tout est bien serré avec des outils spéciaux.
- E7- Sur une tôle métallique, on va appliquer de l’encre spéciale typographique qui sèche par incrustation dans le papier.
- E8- On imprègne le rouleau.
- E9- On répartit l’encre sur le texte.
- E10- On coince la feuille de papier dans des encoches spéciales.
- E11- On soulève délicatement en appuyant sur une tige pour libérer la pression.
- E12- On peut admirer le texte final.
- E13- L’une des stagiaires en pleine composition.
- E14- Nos feuilles.
- E15- Sur la machine.
- E16- Et le texte de chacun apparaît.
C’EST NOTRE FIERTE DE LA JOURNEE !!!!Ci-dessous, une citation de Jean La Mauve, disparu voilà déjà cinq ans, typographe éditeur, qui créa les Editions de « L’ARBRE » en 1970. Grand poète, il a créé, pendant un quart de siècle, de beaux petits livres de typographie artisanale.Voici un lien qui vous présente plus en détails son type de publications : ICI- F1- Citation de Jean Le Mauve.
- F2- La citation d’Albert Fleury dans « VERT EROS » que j’avais choisie de composer.
- F3- Les deux livrets de poésie que j’ai achetés.
- F4- « A MON PAYS RETROUVE » : les références en fin de recueil.
- F5- « LA ROUTE SANS TETE » : les références en fin de recueil.
ICI quelques titres du catalogue des Editions de « L’ARBRE », et un hommage de Christine Brisset Le Mauve à son mari. Vous y trouverez également le nom des librairies et libraires qui distribuent ses recueils.Inscription latine à la porte de l’atelier.
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Par Alrisha le 9 Octobre 2007 à 19:34FOIRE AUX POMMES
Pendant 2 jours, les 6 et 7 octobre, Neuilly-Saint-Front, notre chef-lieu de canton du Sud de l’Aisne (02) a vécu sous la couleur et le goût des pommes.Notre secteur (voir l’article ICI déjà paru) possède beaucoup de vergers où c’est le branle-bas de combat pour la cueillette en ce moment. Pas toujours facile de trouver des saisonniers, des étudiants, alors, il y a aussi un recrutement auprès de l’ANPE. Dans une exploitation à Coincy, l’acquisition d’une machine aide les saisonniers en leur évitant de porter des paniers (qui peuvent peser jusqu’à 15kg) et de manipuler les fruits. Se faufilant entre les arbres, auprès d’elle, 6 cueilleurs peuvent intervenir. Equipée d’un tapis roulant, elle transporte doucement les pommes jusque dans les palox (caisses en bois). Là, les fruits sont revendus à des grandes surfaces du secteur ou dans le secteur agro-alimentaire, également à des particuliers à domicile à 50km à la ronde.A Villers-Cotterêts, la coopérative « Villers fruits », grâce à ses 50 employés, traite en moyenne 20 000 tonnes de fruits, des pommes (Canada, Belles de Boskoop, Jonagold, Gala Elstar sans oublier la Caméo, la variété locale) pour 75%, le reste étant des poires (Comices et Conférences).Triées selon leur qualité, elles vont remplir les chambres froides où l’atmosphère est contrôlée. Ensuite, selon la demande des clients, les pommes sont emballées en plateaux, en sacs ou en barquettes. La vente se fait auprès des grandes plates-formes agroalimentaires. Pas de livraison dans les supermarchés en direct. Dans le domaine de l’agroalimentaire, on retrouvera ces fruits sous formes de jus, compotes, concentré, cidre, …C’est dans ce contexte que la « FOIRE AUX POMMES » vient d’avoir lieu. Dans les rues du bourg, derrière les voitures anciennes de l’association « Gar’age »,J'ai possédé une Simca 1000 dans les année 70.
six chars sur le thème du cirque ont défilé : la « roulotte » de l’association « Bergerie », les « clowns »
de l’école Jeanne d’Arc, « l’éléphant » par les membres du comité de la foire aux pommes, le « chapiteau »
de l’association les « gais lurons », le « lion » du quartier de la « Croix Belval », « l’otarie », second char du comité. 100 000 fleurs ont été nécessaires pour leur décoration. Certaines de ces petites mains ont plié le papier, d’autres ont mis en forme les fleurs.Entre ces chars, les majorettes Jean de La Fontaine,
l’union musicale de Suippes (fanfare) et plusieurs formations hollandaises ont apporté leurs mouvements et leurs musiques. Tout au long des rues, sept exposants ont proposé leurs variétés de pommes.Difficile de quitter Neuilly sans son sac !
On pouvait même goûter (ce que j’ai fait) du jus de pomme sorti directement du pressoir : UN VRAI DELICE !Le chapiteau gourmand abritait des produits d’Alsace ou des Ardennes, mais, principalement des spécialités axonaises (de l’Aisne) : un fabricant de Maroilles (fromage connu fabriqué en Thiérache),
ainsi qu’un spécialiste d’apéritifs à base de fraises, framboises, groseilles, cassis, mûres et rhubarbe récoltés sur leur propriété « FOLIE DOUCE » en Thiérache (dans le Nord Est de l’Aisne près de la frontière belge). Boisson non pétillante, à 15% d’alcool, environ. La bouteille une fois entamée puis rebouchée conservera toutes ses qualités pendant plusieurs semaines. Dehors, un vendeur de miel s'était installé.Des associations locales vendaient des présentations (napperons, tableaux, objets décoratifs) fabriqués à la main. Des spécialistes de tableaux en 3D d’une rare beauté.Proche de l’hôtel de ville, dans la salle des chais, se trouvait le salon de l’artisanat d’art avec un fabricant de jouets et jeux en bois,
une confectionneuse de bijoux fantaisie, une autre de fleurs séchées, tergal et résine, cristal, fées, lutins ; plus loin, des créations de luminaires
en tissu d’ameublement spécialement traités et pliés ou encore des peintures décoratives sur divers supports.Le syndicat d’initiative et l’association « ARTS SUR AISNE » avaient organisé, pour l’occasion, le 6ème salon d’automne à la salle Jeanne d’Evreux.
Plusieurs peintres y exposaient dont Jean-Pierre Balas, aquarelliste, comme invité d’honneur.Fête foraine, parade nocturne, …,
de quoi animer le canton et attirer les badauds, venus nombreux, le soleil étant au RDV.
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Par Alrisha le 4 Octobre 2007 à 22:13De beaux instrumentsL’Association « LIRE A BRUMETZ » dont je suis la présidente (pas très modeste la Alrisha !) a organisé, samedi 22 septembre dernier, une soirée destinée à l’observation céleste.Dès 20h30 dans la cour de l’école, les amateurs se sont rassemblés, chaudement habillés pour certains (le fond de l’air était frais). MAIS, pas de lune devant les yeux ! Pourtant, elle était présente dans le ciel ; les astronomes amateurs du club de Trilport (77) chargés de nous expliquer le « pourquoi du pourquoi » nous l’affirmaient. Des nuages, des nuages et encore des nuages se profilaient à l’horizon. « Jour mal choisi par la présidente » m’a-t-on rétorqué. De l’humour ?En attendant des moments un peu plus dégagés, on s’est installé dans la salle d’évolution face à un diaporama très explicite et bien commenté par Guy Buhry. Qu’il en soit encore remercié ! Le soleil, la voie lactée, les constellations du zodiaque et leurs différentes formes, l’espace INFINI, le temps INFINI en millions voir milliards d’années ; de quoi alimenter les discussions. Chacun y allant de sa propre interrogation.Même les enfants, qui jouaient au foot à l’extérieur, se sont vite rassemblés et ont posé énormément de questions.« On peut y aller » s’exclame tout à coup un animateur. En effet, vers 23h, le ciel s’est dégagé et petits et grands ont pu « observer » chacun à leur tour, l’œil rivé à la lorgnette, les ombres ou cratères de la lune, les amas d’étoiles, les unes plus ternes, certaines autres très brillantes.Les lunettes astronomiques et autres téléscopes, qui avaient été détaillés quant à leurs caractéristiques et leurs différences en début de soirée, montaient alors toutes leurs capacités.Peu après minuit, je rentrais laissant la place aux véritables passionnés qui poursuivirent leur nuit assez tard.
Au début, on écoute les explications, mains dans les poches: le ciel est trop chargé en nuages.
Quelques tentatives d'observation sans dérégler les instruments, donc en évitant de les toucher.
Les amateurs sont éparpillés un peu partout autour des appareils dans l'herbe du terrain de l'école.
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Par Alrisha le 11 Septembre 2007 à 17:47Vie médiévale en l’An MilAu cœur de l’ancien château médiéval de Château-Thierry (02), perché à 500m sur une colline, DOMUS CASTRI est un centre médiéval d’interprétation reconstitué. VIRGES ARMES, compagnie professionnelle, vous accueille sur le site et vous présente un habitat castral d’ateliers d’artisans ainsi que la vie quotidienne de la population vivant et travaillant dans les enceintes domestiques des premiers châteaux de bois sur la période de l’An Mil en France (à la naissance de la féodalité).
Une partie de l’habitat castral
Des démonstrations sont présentées tout au long de la saison, lors d’animations ponctuelles. Lors de « Journées à Thèmes », sont présentées les techniques du TISSAGE, de la FORGE,
Intérieur de la FORGE
CASQUE, COTTE DE MAILLES, BOUCLIERS fabriqués sur place
des TEINTURES,
Après la teinture, la laine est en train de sécher.
de la BRODERIE, de la BOISSELLERIE
Pièce (en fabrication) destinée au fonctionnement d’un TOUR A BOIS
RABOT à bois
et METIERS DE LA FORÊT (ingénierie médiévale, fonctionnement d’engins de levage), de l’ORFEVRERIE, de la POTERIE, du TRAVAIL DU CUIR, de la CUISINE, …
Toits en CHAUME
Autant de « savoir-faire » remis en pratique pour découvrir les gestes de nos ancêtres, qu’ils soient artisans, servantes ou gens du peuple.Des soirées « CONTES », des « REPAS TAVERNE », des « JOURNEES POUR ENFANTS » au cours des quelles, ils manipulent et créent de façon ludique (en CALLIGRAPHIE, en tissage, en cuisine, en FEUTRAGE DE LA LAINE).TECHNIQUE POUR ALLUMER LE FEULors de ma visite, l’un des animateurs m’a interpellée tout spécialement pour me montrer l’ART d’allumer le feu à cette époque. J’ai photographié les différentes séquences
En premier, on amoncelle un peu de paille.
On ajoute quelques brindilles de bois.
Briquet de métal spécialement forgé pour tenir dans une main.
L’amadouvier est ce champignon à forme arrondie qui pousse sur les troncs d’arbre.
On en extrait des lamelles d’amadou, substance spongieuse qui s’enflamme facilementOn tient d’une main, la lamelle d’amadou et un morceau de silex bien collés ensemble, puis, on provoque des étincelles en frottant énergiquement le briquet sur le silex.
Le morceau d’amadou devient incandescent.
On introduit la braise d’amadou au milieu d’un peu de paille et on agite le bras régulièrement de haut en bas pour donner de l’oxygène et les flammes apparaissent au bout d’un certain temps.
On approche les flammes des brindilles posées au sol.
Le feu prend alors de l’ampleur.
Aussitôt, il faut apporter des morceaux de bois pour entretenir le feu.
LE FEU : pour se réchauffer, s’éclairer, cuire les aliments, effrayer les bêtes. Invention capitale et bénéfique à cette époque.
Qu’en ont fait les hommes ensuite ? Ils ont utilisé ce FEU pour fabriquer des armes de guerre. De nos jours, iIs utilisent ce FEU pour incendier des pans entiers de forêts (en Amazonie par exemple) et les remplacer par des terres cultivables ou des espaces réservés à l’élevage et ainsi priver la terre et ses habitants d’une grande partie de leur oxygène.
L’ESPECE HUMAINE VA-T-ELLE UN JOUR UTILISER SON INTELLIGENCE A BON ESCIENT ?
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Par Alrisha le 7 Septembre 2007 à 23:45
Cette photo pour remercier
Kty
Dans son blog "pages-de-villes",
www.pages-de-villes.com/
Kty met en ligne des photos de villes et villages rencontrés afin de les présenter.
Elle vient de mettre en ligne BRUMETZ, mon village.
Je vous invite à le découvrir en images en cliquant
ICI www.pages-de-villes.com/article-12236296.html
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Par Alrisha le 6 Septembre 2007 à 12:11De temps en temps, je vous donnerai des nouvelles des activités de mon petit village.Aujourd’hui, je vous présente la classe de BRUMETZ (02)dans mon petit village de 200 âmes.Cette année, Claire, l’institutrice a 8 élèves en CE1 et 12 en GS maternelle. C’est peu par rapport aux autres années où elle avait jusqu’à 25 élèves (et même plus) et toujours en 2 cours.Où sont donc les autres élèves ? Nous fonctionnons en regroupement scolaire dénommé de la « VALLEE DU CLIGNON ». C’est une scolarisation, accueillant les enfants dès l’âge de 3 ans, dite à écoles dispersées, comportant 7 classes au total. Les enfants proviennent de 4 villages : GANDELU qui possède 5 classes, BRUMETZ 1 classe, MONTIGNY-L’ALLIER 1 classe et VEUILLY-LA-POTERIE (dont l’école a fermé). Un car de ramassage circule matin, midi et soir. Pas de cantine.MAIS, rien à envier aux écoles de villes. : ordinateurs, photocopieuse, dans toutes les classes , Internet à Gandelu et Brumetz, gymnase à Gandelu, salle d’évolution à Brumetz. Cours d’anglais en primaire, soutiens individualisés avec spécialiste, accès à une bibliothèque avec ateliers dans chaque village, cours à la piscine de Château-Thierry, séjours en classes transplantées, ….Et, tout cela, dans un cadre idyllique !
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Par Alrisha le 1 Septembre 2007 à 19:42
L'Association "Les Cochons de Crépy" organisait le week-end dernier la "FÊTE DES COCHONS" dans le parc Sainte Agathe à Crépy-en-Valois (60).
C'est avant tout une fête médiévale où plusieurs troupes se produisent. Des ateliers divers sont mis en place retraçant les gestes des métiers de l'époque moyenâgeuse.
Le menuisier travaille sur son tour à bois.
L'arbalétrier explique le fonctionnement. La flèche doit être placée sous une lame métallique.
Les amateurs sont prêts à tirer.
Le coutelier, tailleur, rémouleur, auprès de sa forge.
Des catapultes ont été mises en démonstration.
Une famille avec son bébé allongé et un joueur de cornemuse de la troupe "TERRA CROM".
Le bibelotier prépare ses moules.
Pendant ce temps, l'enfant grave son dessin. Ensuite, on fait couler le métal.
L'enfant, fier de lui, montre son oeuvre dans sa main.
L'orfèvre travaille l'étain, l'or ou le cuivre.
Le Seigneur, sa femme et son fils, défilent suivis de leurs domestiques et de leurs chevaliers.
Homme masqué de la "HORDE DE KROONACK".
Les chevaliers de la troupe "LES FER VETUS" en combat.
On a pu assister à un combat de chevaliers en même temps que le Seigneur et sa famille.
Marché de produits du terroir, ripailles à base de cochon, cracheurs de feu, équilibristes (AU FIL DU VENT), étaient aussi au programme avant la montée sur scène de plusieurs groupes en concerts.(BACHI BOUZOUL et MARCHAL BROTHER BAND)
Chevaliers sur échasses (LE TOUCAN), chevaliers burlesques (LES HUMANOS)
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